"À l'écoute actuellement..."

[Dardepiche]

Yasmine Hamdane
Album I remember, I forget

Voix envoûtante, musique assez planante, voire onirique, qui va sans doute  rappeler l'excellentissime anglo-pakistanaise Arooj Aftab.
Au contraire de ce que la pochette évoque, c'est très actuel.



Bousculée par le Covid et la crise qui a saisi son pays natal, le Liban, après l’explosion du port de Beyrouth en 2020, Yasmine Hamdan fait son retour sept ans après son dernier album avec I Remember, I Forget, un disque magnétique sur lequel planent les ombres du monde. La chanteuse installée à Paris s’est comme d’habitude associée à Marc Collin de Nouvelle Vague, qui avait produit et sorti son premier album solo en 2012 sur son label Kwaidan. Il lui sert d’élégantes productions indie, entre pop, folk et électro, sur lequel elle pose ses mélismes inspirés des plus grandes chanteuses du répertoire arabe qu’elle connaît parfaitement.
Le single Hon, écrit avec le poète palestinien Anas Alaili, évoque le traumatisme du Liban, puis la chanteuse aborde plus largement les crises collectives du monde à travers un album qui explore la mémoire, le poids du passé et le besoin d’oublier pour avancer, comme l’indique son titre I Remember, I Forget (“Je me souviens, j’oublie”). De Shmaali, synthpop aux accents de mezoued électronique, aux contemplatifs The Beautiful Losers et Mor, composés avec le musicien syrien Omar Harb, jusqu’à l’envoûtant final Reminiscence, Yasmine Hamdan vient nous rappeler la puissance cathartique de la musique et que les artistes ont le devoir de soigner le monde. © Smaël Bouaici/Qobuz

Qobuz

[akoirium]

en boucle pour moi... tout frais de ce matin !



Qobuz

[Dardepiche]

Polyrythmics
Album Life from below

Plutôt funk, mais pas trop, jazz, soul aussi, mais pas trop non plus !
en tous cas, un très bon album.



https://www.qobuz.com/us-en/album/life-f...594o8fktdb

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Allez on enchaîne avec une tuerie

El Michels Affair
24 Hr Sports




Entre nostalgie et modernité

Ce qui séduit dans 24 Hr Sports, c’est sa capacité à être à la fois rétro et moderne. Les cuivres éclatants, les basses profondes et les grooves rappellent les productions soul des années 70, mais les arrangements et les textures sonores ancrent l’album dans son époque.

L’esthétique globale, inspirée par l’univers sportif des années 80 et 90, ajoute une dimension ludique et visuelle qui colle parfaitement au côté conceptuel du projet. Chaque morceau est pensé comme une étape d’un marathon musical où l’on passe du funk brûlant à la soul planante, de la samba groovy à des atmosphères plus psychédéliques.
https://blog.love-and-vinyls.com/el-mich...-haut-vol/

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Et si vous aimez ce Michel, écoutez ça, c'est génial.

[Pachon]

Je viens de découvrir Ezra Collective, une formation de jazz contemporain qui mélange plein de styles différents (dont je ne ferais pas la liste). C'est vraiment bon ! Je ne recommande pas d'album en particulier vu que je n'en ai écouté que 2 d'entre eux : "Dance, No one's watching" et "Where i'm mean to be" (avec lequel ils ont reçu le prix Mercury en 2023). 
A écouter !

https://open.qobuz.com/album/g8xvotuajm51b
https://open.qobuz.com/album/h5wmih4w1bknc

[Oréliun]

Tenderheart - Thirst for Change [2025]



Qobuz
Tidal

Un album d'électro tout smooth qui détend et fait voyager un peu l'esprit.

[Terrot1928]

Bonjour, 

Je plussoie avec Dardepiche au sujet du dernier album de la délicieuse artiste libanaise Yasmine Hamdan qui tourne en boucle chez moi depuis deux jours. 

Je l’avais découverte lors de la sortie du film de Jarmuch « Only lovers left alive » où elle apparait en concert et j’avais acheté son album Ya Nass. 

Je trouve le dernier nettement meilleur, mais c’est évidemment subjectif.

Et effectivement, si l’artiste a un message à faire passer dans les paroles (en arabe dit libanais), que cela ne vous rebute pas, car au plan musical, c’est très bon et très moderne….Dans le duo Soapkills, elle a représenté la scène électro sur la scène libanaise.

Terrot.

[Dardepiche]

Ink traces de Julia Glenn





Qobuz

Inspirant la curiosité, les échanges culturels et une écoute attentive, INK TRACES reflète le parcours de quinze ans de la violoniste Julia Glenn, explorant la culture chinoise et les interactions entre langue et musique, nourri par de fréquents voyages et trois années passées en Chine. Cet album, paru chez Navona Records, témoigne d'une approche interdisciplinaire plus large, caractéristique des arts chinois : poésie, danse, peinture, calligraphie et musique s'entremêlent, révélant de fascinants dialogues entre geste et son. Son titre, inspiré en partie par Ink Traces of Sigh de Pan Kai  pour violon solo, est un clin d'œil à cette interaction.

Cet album explore trois thèmes : l’exploration des possibilités offertes par le jeu musical et linguistique dans la musique des locuteurs chinois, l’élargissement des perspectives sur la musique chinoise et la promotion du dialogue culturel entre la Chine et les États-Unis. Il présente des œuvres de compositeurs chinois et sinophones, repoussant les frontières de la musique occidentale traditionnelle pour créer des paysages sonores et des processus riches et imaginatifs.

[mishelinka]

Merci pour ces quelques lignes « explicatives ». C’est toujours très agréable de ne pas avoir affaire à un simple lien qobuz ou une photo de pochette comme seuls indications d’un choix…