12-05-2025, 10:49 PM
(Modification du message : Il y a 1 heure par Steph44200.)
Yasmine Hamdane
Album I remember, I forget
Voix envoûtante, musique assez planante, voire onirique, qui va sans doute rappeler l'excellentissime anglo-pakistanaise Arooj Aftab.
Au contraire de ce que la pochette évoque, c'est très actuel.
![[Image: 5400863177362-02.webp]](https://i.ibb.co/WNqDd4Tw/5400863177362-02.webp)
Bousculée par le Covid et la crise qui a saisi son pays natal, le Liban, après l’explosion du port de Beyrouth en 2020, Yasmine Hamdan fait son retour sept ans après son dernier album avec I Remember, I Forget, un disque magnétique sur lequel planent les ombres du monde. La chanteuse installée à Paris s’est comme d’habitude associée à Marc Collin de Nouvelle Vague, qui avait produit et sorti son premier album solo en 2012 sur son label Kwaidan. Il lui sert d’élégantes productions indie, entre pop, folk et électro, sur lequel elle pose ses mélismes inspirés des plus grandes chanteuses du répertoire arabe qu’elle connaît parfaitement.
Le single Hon, écrit avec le poète palestinien Anas Alaili, évoque le traumatisme du Liban, puis la chanteuse aborde plus largement les crises collectives du monde à travers un album qui explore la mémoire, le poids du passé et le besoin d’oublier pour avancer, comme l’indique son titre I Remember, I Forget (“Je me souviens, j’oublie”). De Shmaali, synthpop aux accents de mezoued électronique, aux contemplatifs The Beautiful Losers et Mor, composés avec le musicien syrien Omar Harb, jusqu’à l’envoûtant final Reminiscence, Yasmine Hamdan vient nous rappeler la puissance cathartique de la musique et que les artistes ont le devoir de soigner le monde. © Smaël Bouaici/Qobuz
Qobuz
Album I remember, I forget
Voix envoûtante, musique assez planante, voire onirique, qui va sans doute rappeler l'excellentissime anglo-pakistanaise Arooj Aftab.
Au contraire de ce que la pochette évoque, c'est très actuel.
![[Image: 5400863177362-02.webp]](https://i.ibb.co/WNqDd4Tw/5400863177362-02.webp)
Bousculée par le Covid et la crise qui a saisi son pays natal, le Liban, après l’explosion du port de Beyrouth en 2020, Yasmine Hamdan fait son retour sept ans après son dernier album avec I Remember, I Forget, un disque magnétique sur lequel planent les ombres du monde. La chanteuse installée à Paris s’est comme d’habitude associée à Marc Collin de Nouvelle Vague, qui avait produit et sorti son premier album solo en 2012 sur son label Kwaidan. Il lui sert d’élégantes productions indie, entre pop, folk et électro, sur lequel elle pose ses mélismes inspirés des plus grandes chanteuses du répertoire arabe qu’elle connaît parfaitement.
Le single Hon, écrit avec le poète palestinien Anas Alaili, évoque le traumatisme du Liban, puis la chanteuse aborde plus largement les crises collectives du monde à travers un album qui explore la mémoire, le poids du passé et le besoin d’oublier pour avancer, comme l’indique son titre I Remember, I Forget (“Je me souviens, j’oublie”). De Shmaali, synthpop aux accents de mezoued électronique, aux contemplatifs The Beautiful Losers et Mor, composés avec le musicien syrien Omar Harb, jusqu’à l’envoûtant final Reminiscence, Yasmine Hamdan vient nous rappeler la puissance cathartique de la musique et que les artistes ont le devoir de soigner le monde. © Smaël Bouaici/Qobuz
Qobuz
Pel Kantor S4 /Elac Solano
Teac UD-701 N/ UD-701 T / TN-5BB
Teac CG-10 M et FLR
Yba Passion Amp 650 / Moon 330 A/ Project Ds3b
Jsv /Mpc /Sebka/ Transparent/Tellurium
Teac UD-701 N/ UD-701 T / TN-5BB
Teac CG-10 M et FLR
Yba Passion Amp 650 / Moon 330 A/ Project Ds3b
Jsv /Mpc /Sebka/ Transparent/Tellurium


