Je me suis un peu mélangé les pinceaux en citant un article plus haut. Je voulais parler de celui de l'Audiophile-Magazine...
Mais un petit retour en arrière...Quand on a commencé à s’intéresser aux problématiques de réseau et de musique dématérialisée est apparu le problème de masse et de terre, avatar de pollution 100% analogique induit par les équipements numériques impactant nos chaines audio (analogiques pour la plupart).
Pour répondre au problème, chacun y est aller de sa solution d'isolation galvanique. Certains on mis en place des ponts optiques Ethernet, de mon côté j'ai utilisé un pont Wifi puis une autre solution. Sont apparus les isolateurs galvaniques clé en main, externes d'abord (étalon et autres) et internes ensuite (carte de conversion WaveIO, DAC Soekris et plein d'autres utilisant les circuits intégrés d'isolation galvanique du genre IL715).
L'ensemble de ses solutions ont pour but d'isoler les masses entre la chaine HIFI et les équipement informatiques. Parce qu'un courant circule dans les masses (sinon il n'y aurait pas de problème). Ce sont des solutions palliatives : on ne fait rien pour éviter ces courants de masse. De plus, ces solutions n'apportent rien concernant le jitter et autres problèmes invoqués ici ou là qui concerne le signal numérique uniquement.
Mon ampli DIY de l'époque de mes tests était un peu particulier. Il avait un étage d'entrée à symétrisation passive par pont de résistance qui aboutissait à une impédance d'entrée du point froid (masse) égale à la résistance d'entrée du point chaud. Les courant de fuite passaient dans cette impédance élevée (11K) du point froid ce qui générait un signal qui venait se superposer à la musique. Du fait de cette résistance j'avais sans le vouloir réalisé une vrai loupe à courant de fuite avec résultat direct dans mes enceintes ! C'était pas bien joli mais ca m'a bien aider à caractériser les problèmes. Et du courant de fuite il y en avait à gogo.
Avant d'en venir à la solution de mon pont Wifi, j'ai essayé divers tests d'alim et tripatouille avec la terre. Voilà quelques résultats:
En dégageant toutes les alims à découpage, l'isolateur n'avait plus vraiment de problème de pollution à régler et il ne restait plus alors que le négatif (un éléments imparfait en plus dans la chaine). De là à penser que la mise en œuvre des alimentations linéaires à fortement diminuer la pollutions des masses il n'y a qu'un pas, que je franchis d'autant plus que çà rejoint exactement ce que j'avais identifié lors de mes tests.
A relier aussi avec les Manip de Swenson sur les réseaux pour l'audio.
Aussi pour éclairer les problèmes de courant de fuite et d'équipotentialité, un bon article de Bruno Putzeys :
https://www.diyaudio.com/archive/blogs/a...g-word.pdf
Mais un petit retour en arrière...Quand on a commencé à s’intéresser aux problématiques de réseau et de musique dématérialisée est apparu le problème de masse et de terre, avatar de pollution 100% analogique induit par les équipements numériques impactant nos chaines audio (analogiques pour la plupart).
Pour répondre au problème, chacun y est aller de sa solution d'isolation galvanique. Certains on mis en place des ponts optiques Ethernet, de mon côté j'ai utilisé un pont Wifi puis une autre solution. Sont apparus les isolateurs galvaniques clé en main, externes d'abord (étalon et autres) et internes ensuite (carte de conversion WaveIO, DAC Soekris et plein d'autres utilisant les circuits intégrés d'isolation galvanique du genre IL715).
L'ensemble de ses solutions ont pour but d'isoler les masses entre la chaine HIFI et les équipement informatiques. Parce qu'un courant circule dans les masses (sinon il n'y aurait pas de problème). Ce sont des solutions palliatives : on ne fait rien pour éviter ces courants de masse. De plus, ces solutions n'apportent rien concernant le jitter et autres problèmes invoqués ici ou là qui concerne le signal numérique uniquement.
Mon ampli DIY de l'époque de mes tests était un peu particulier. Il avait un étage d'entrée à symétrisation passive par pont de résistance qui aboutissait à une impédance d'entrée du point froid (masse) égale à la résistance d'entrée du point chaud. Les courant de fuite passaient dans cette impédance élevée (11K) du point froid ce qui générait un signal qui venait se superposer à la musique. Du fait de cette résistance j'avais sans le vouloir réalisé une vrai loupe à courant de fuite avec résultat direct dans mes enceintes ! C'était pas bien joli mais ca m'a bien aider à caractériser les problèmes. Et du courant de fuite il y en avait à gogo.
Avant d'en venir à la solution de mon pont Wifi, j'ai essayé divers tests d'alim et tripatouille avec la terre. Voilà quelques résultats:
- Il y a souvent une ou plusieurs terres dans un système hifi par lesquelles les courants de fuites s’échappent du système. Si le système informatique en amont n'est pas relié à la masse, les courants de fuites de ces équipements vont tous finir dans l'ampli pour qu'il puisse s'échapper par la seule terre dispo. Or dans mon réseau "maison" il y a des dizaines d'équipements (Deux NAS, 5 ou 6 switch, la box..), tous alimenté par une alimentation à découpage à deux balle et sans prise de terre. Aucune voie pour que ces satanés courants puissent s'échapper. Tout arrivait sur mon étage d'entrée "loupe" dans l'ampli pour dégager via la terre. C'était assez horrible : résidus mulitples de découpage,
50 Hz, parasites non identifiés... La grosse déprime.
- J'ai relié quelques masses à la terre sur des équipement sur NAS (amélioration de l'équipotentialité), pour voir. Ca diminuait les parasites;
- J'ai essayé des alims linéaires : mieux qu'avec les alim à découpage --> moins de courants parasites
"Pour les besoins du comparatif, il m'a fallu enlever temporairement de mon dispositif numérique le pont optique, c'est-à-dire les deux FMC TP-Link, afin de pouvoir récupérer une sortie variable de la HDPLEX.
Bien m'en a fait car je me suis aperçu qu'une fois avoir remplacé toutes les alimentations à découpage trainant sur le réseau informatique, le pont optique n'apportait strictement rien de bon, voire bridait un peu le résultat en ajoutant une dose de jitter, certes faible, mais quand même perceptible à l'écoute."
En dégageant toutes les alims à découpage, l'isolateur n'avait plus vraiment de problème de pollution à régler et il ne restait plus alors que le négatif (un éléments imparfait en plus dans la chaine). De là à penser que la mise en œuvre des alimentations linéaires à fortement diminuer la pollutions des masses il n'y a qu'un pas, que je franchis d'autant plus que çà rejoint exactement ce que j'avais identifié lors de mes tests.
A relier aussi avec les Manip de Swenson sur les réseaux pour l'audio.
Aussi pour éclairer les problèmes de courant de fuite et d'équipotentialité, un bon article de Bruno Putzeys :
https://www.diyaudio.com/archive/blogs/a...g-word.pdf
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