07-26-2016, 06:34 PM
Bonjour tous.
Un peu perdue dans toutes ces pages,
je note un certain flou dans les modèles du tout début et leurs dates.
Je vois évoquée l'année 1986,
et franchement je ne vois pas pourquoi car les choses étaient déjà bien avancées à ce moment-là.
Les premiers modèles c'est 1982 !
Ce que je ne sais pas c'est si toute la série M version d'origine est sortie en même temps.
Mais j'ai tendance à penser que cela été fait dans la foulée.
La deuxième version il me semble l'avoir croisée déjà en 1985 ! !
Donc en 1986 on était déjà très largement dans la version 2. Ça c'est sûr.
La Junior était la plus petite, et elle est aussi sortie dans les premières.
Les M V ont été présentées en 1985.
La Quattro c'est le salon d'avril 1989.
Et c'était considéré comme la nouvelle page qui se tournait,
on enterrait le passé.
PEL déjà avant les années 90
se caractérisait par une sorte de course, l'impression d'aller plus vite que le temps.
Alors que les constructeurs prenaient le temps d'amortir chaque sortie, là on avait l'impression d'une énergie qui débordait des cadres établis.
Un peu perdue dans toutes ces pages,
je note un certain flou dans les modèles du tout début et leurs dates.
Je vois évoquée l'année 1986,
et franchement je ne vois pas pourquoi car les choses étaient déjà bien avancées à ce moment-là.
Les premiers modèles c'est 1982 !
Ce que je ne sais pas c'est si toute la série M version d'origine est sortie en même temps.
Mais j'ai tendance à penser que cela été fait dans la foulée.
La deuxième version il me semble l'avoir croisée déjà en 1985 ! !
Donc en 1986 on était déjà très largement dans la version 2. Ça c'est sûr.
La Junior était la plus petite, et elle est aussi sortie dans les premières.
Les M V ont été présentées en 1985.
La Quattro c'est le salon d'avril 1989.
Et c'était considéré comme la nouvelle page qui se tournait,
on enterrait le passé.
PEL déjà avant les années 90
se caractérisait par une sorte de course, l'impression d'aller plus vite que le temps.
Alors que les constructeurs prenaient le temps d'amortir chaque sortie, là on avait l'impression d'une énergie qui débordait des cadres établis.