Enceintes Pierre Étienne Léon (PEL), c'est ICI qu'on en parle !!!

[davidhifi]

(01-28-2018, 08:50 PM)Vincent. a écrit : De mémoire, les Classic ne sont pas particulièrement difficiles.
Je n'ai jamais essayé cette association Rega-PEL. D'autres sûrement : appel aux amateurs pour un retour d'expérience !

J'ai euffectué une écoute chez PEL lui-même des Kantor S3 alimentées par un Réga Brio-R. L'association donne de bons résultats, quoi que le Brio manque de puissance pour permettre au Kantor de pleinement s'exprimer.

Voilà mon CR de l'époque:


Ecoute des Kantor S3                                                                                                                              Lundi 06/02/17

 
Ampli Rega Brio R, lecteur CD de marque inconnue, l’enceinte est neuve, cela fait 3 jours qu’elle a été sorti des cartons, elle n’est pas encore rodée.
1/ Cannanball Adderley “Semthin else”, plage 2: Love for sale
Rien de spécial hormis le fait que le sax et la trompette sont à droite alors qu’à la maison ils sont à gauche (c’est moi qui me serai planté à la maison !!!). Chaque instrument est reproduit avec  naturel, la trompette de Miles n’agresse pas l’oreille, la vibration du souffle du sax est perceptible à certains moments, la batterie est bien détaillée, les frottements des balais sur la charleston, les variations du jeu des balais percutant la cymbale à différents  endroits (je ne l’avais jamais entendu avant).
2/ Lisa Ekdahl “Heaven Earth and beyond”, plage 12: Nature Boy
Les graves descendent bas, c’est propre, ça ne bave pas. La scène est plus large que sur les Dali.
3/ Norah Jones “Come away with me”, plage 3: Cold cold Hearth
Norah se tient au milieu de la scène. Chaque instrument est  à sa place et est reproduit de façon très naturelle.
Les enceintes reposaient jusqu’à présent sur des coupelles. 2 à l’arrière et une à l’avant. Les 2 coupelles arrières sont retirées, les 2 pointes arrières de l’enceintes reposent directement sur le sol.
Même morceau, même volume, et là surprise, Norah a grandi, la scène s’est élargie et a pris de la profondeur, les aigus filent plus haut et les graves descendent plus bas encore. Le couplage de l’enceinte se fait avec la pièce d’écoute. Le résultat impressionne.
4/ Alma Rosa  “Chocolate”, plage 11: Drume Negrita
La dernière coupelle, celle à l’avant est retirée. Les 3 pointes de chacune des 2 enceintes reposent directement sur le carrelage. La scène gagne encore en profondeur, les aigus filent plus haut et les graves plus bas. Elles vont vraiment loin ces Kantor S3.  L’introduction de la basse est tout simplement fabuleuse, le pincé des cordes, les harmoniques, les graves sont tendus et profonds… puis Alma rentre en scène, quelle voix, quelle présence. Le duo fonctionne à merveille. Arrive les 2 percussionnistes aux congas, le premier à gauche de la scène, le deuxième à droite de la scène. Ils se parlent au travers de leur instrument avec un léger décalage. C’est sec, envoutant, l’image est confondante. Quel bonheur.
5/ Dire Straits “Love over gold”, plage 2: Private investigations
Marc et sa guitare acoustique, ses doigts pincent les cordes, l’on différencie aisément les sons des cordes métalliques des cordes nylon. La batterie nous offre une dynamique impressionnante et la grosse caisse est d’une présence et d’un réalisme.
6/Dvorak “Best of”, plage 3: Adagio ma non troppo
Le violoncelle est l’élément central du morceau. L’archet frotte les cordes avec un naturel, son jeu et les variations produisent une vive émotion, puis l’orchestre symphonique se mêle, les violons,  les contrebasses. La finesse de chacun des instruments de l’orchestre, la dynamique, l’équilibre plus que cohérent et ce à chaque instant, un moment d’une grande intensité.
7/ Antonio Caldara “Madalena ai piedi di cristo”, plage inconue
Quelle voix, ouah !!! ...