Type : Cables XLR 2X80cm
Marque : Van Den Hul
Modèle et options : The Orchid
Prix de vente : 180 euros FDPIN
Département où la marchandise est visible : Marseille
Possibilité d'expédition : Oui
Montant des frais d'expédition : Inclus avec Mondial Relay (+4 euros avec assurance en valeur)
État de la marchandise : Bon
Première main : Oui
Prix neuf : 340 euros
Facture disponible : Non
Date, pays et lieu d'achat : 12/2022
Garantie et date d'expiration : ...
Numéro de série :
Emballage d'origine conservé : Non
Documentations conservées : Non
Description générale : Très bon cables XLR mainte fois récompensés.
Lien : VAN DEN HUL THE ORCHID Audiophile Fr
Je passe une annonce pour le compte d'un ami, pas très doué en informatique.
J'ai pu les tester sur mon système et je dois dire que ça marche très fort !!!
Son clair, précis, impact, finesse, grain, etc. tout y est
Si j'avais pas en place mes propre cables XLR fait maison, je l'aurai surement gardé !
Test : LEBEAUSON
The Orchid :
La perception de ce troisième câble est si différente des deux hérauts qui l’encadrent (The D501 Silver et The Rock) qu’il donne l’impression de provenir d’une autre marque ; expressivement, il est particulièrement intéressant, ciselé, précis, vif.
Ce » minuscule » câble, à peine plus gros qu’un spaghetti, surprend à plus d’un titre. Qu’il s’agisse d’une électronique à transistors (YBA) ou à tubes (TOSCA), la musicalité produite par The Orchid est une révélation.
Voici par exemple un câble qui sait ce que le registre grave signifie. Celui-ci descend bien bas, sans altération d’une part, ni boursoufflure d’autre part, et qui, de surcroît a « l’insolence » d’être d’une précision d’enfer.
The Orchid ne délaisse pas les autres registres pour autant. Le registre aigu s’articule autour du médium avec des enchaînements logiques, harmonieux, et bien orchestrés.
L’aspect fouillé de la restitution sonore permet de mettre l’accent sur la richesse des timbres et une magnifique transparence d’ensemble.
Ce câble a une autre vertu : l’absence totale de toutes formes de colorations intempestives : il sait préserver la teinte fruitée des instruments de musique, avec panache dirais-je même.
De plus, à aucun moment, il se veut agressif, ou au contraire, excessivement chaleureux. De fait, on pourrait presque en déduire qu’il est d’une neutralité quasi absolue.
A tout dire, de tous les modèles VAN DEN HUL que j’ai eu entre les mains, The Orchid est mon préféré, je le recommande donc sans hésitation.
Caractéristiques techniques
Configuration
Photos :
![[Image: IMG-20251224-102838.jpg]](https://i.postimg.cc/QC84JL09/IMG-20251224-102838.jpg)
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Marque : Van Den Hul
Modèle et options : The Orchid
Prix de vente : 180 euros FDPIN
Département où la marchandise est visible : Marseille
Possibilité d'expédition : Oui
Montant des frais d'expédition : Inclus avec Mondial Relay (+4 euros avec assurance en valeur)
État de la marchandise : Bon
Première main : Oui
Prix neuf : 340 euros
Facture disponible : Non
Date, pays et lieu d'achat : 12/2022
Garantie et date d'expiration : ...
Numéro de série :
Emballage d'origine conservé : Non
Documentations conservées : Non
Description générale : Très bon cables XLR mainte fois récompensés.
Lien : VAN DEN HUL THE ORCHID Audiophile Fr
Je passe une annonce pour le compte d'un ami, pas très doué en informatique.
J'ai pu les tester sur mon système et je dois dire que ça marche très fort !!!
Son clair, précis, impact, finesse, grain, etc. tout y est

Si j'avais pas en place mes propre cables XLR fait maison, je l'aurai surement gardé !
Test : LEBEAUSON
The Orchid :
La perception de ce troisième câble est si différente des deux hérauts qui l’encadrent (The D501 Silver et The Rock) qu’il donne l’impression de provenir d’une autre marque ; expressivement, il est particulièrement intéressant, ciselé, précis, vif.
Ce » minuscule » câble, à peine plus gros qu’un spaghetti, surprend à plus d’un titre. Qu’il s’agisse d’une électronique à transistors (YBA) ou à tubes (TOSCA), la musicalité produite par The Orchid est une révélation.
Voici par exemple un câble qui sait ce que le registre grave signifie. Celui-ci descend bien bas, sans altération d’une part, ni boursoufflure d’autre part, et qui, de surcroît a « l’insolence » d’être d’une précision d’enfer.
The Orchid ne délaisse pas les autres registres pour autant. Le registre aigu s’articule autour du médium avec des enchaînements logiques, harmonieux, et bien orchestrés.
L’aspect fouillé de la restitution sonore permet de mettre l’accent sur la richesse des timbres et une magnifique transparence d’ensemble.
Ce câble a une autre vertu : l’absence totale de toutes formes de colorations intempestives : il sait préserver la teinte fruitée des instruments de musique, avec panache dirais-je même.
De plus, à aucun moment, il se veut agressif, ou au contraire, excessivement chaleureux. De fait, on pourrait presque en déduire qu’il est d’une neutralité quasi absolue.
Grâce à ce câble, on obtient un étagement des plans vraiment bien organisé, qui permet d’entendre distinctement les musiciens de premier rang – le contraste avec ceux placés en arrière plan est flagrant.
Ce câble se singularise par une texture sonore consistante qui se porte garante d’infimes substances, sensations et performances musicales des produits qu’il a pour mission de relier entre eux. Le côté « plein » de tous les instruments de musique et, en particulier, de la contrebasse ou des percussions donnent réellement du crédit à la présence des instruments dans la pièce d’écoute.
Pour les vocaux, j’ai été littéralement subjugué par cette volonté de mettre en exergue l’aspect expressif et humain des chœurs et des solistes.
Autre caractéristique : on peut observer une forme de silence peu commune autours des instruments de musique et des vocaux : on ne pourra que mieux apprécier la sublime aération qui règne au sein de la scène sonore, et j’ai relevé que chaque instrument de musique s’éteint avec une graduation gérée avec un soin extrême. J’ai également noté que ce câble favorise la spatialisation et l’ampleur de la scène sonore, que je qualifie de prestigieuses, sans qu’elles n’apparaissent envahissantes le moins du monde.
Tous styles de musiques confondus, ce câble rend la musique pétillante, vivante, joyeuse, goûteuse et consistante – il saura faire chanter les meilleurs systèmes audio et les plus beaux enregistrements. A titre personnel, j’ai été vraiment heureux de « travailler » avec ce câble, qui pourrait être qualifié – pourquoi pas – d’universel. A tout dire, de tous les modèles VAN DEN HUL que j’ai eu entre les mains, The Orchid est mon préféré, je le recommande donc sans hésitation.
Caractéristiques techniques
Configuration
- Type : Bifilaire triaxial, modulation symétrique ou asymétrique
- Diamètre extérieur : 2,9 mm
- Impédance : 60 Ω
- Central : 1 brin cuivre désoxygéné (OFC) argenté 0,0452 mm²
- Intermédiaire : 48 brins cuivre désoxygéné (OFC) argenté 0,241 mm²
- Blindage écran : 80 brins cuivre désoxygéné (OFC) argenté 0,226 mm²
- Central : 38,1 Ω / 100 m
- Intermédiaire : 5,64 Ω / 100 m
- Écran : 3,37 Ω / 100 m
- Central-intermédiaire : 100 pF / m
- Intermédiaire-écran : 338 pF / m
- Polytétrafluoroéthylène (PTFE)
- Perfluoroalkoxy (PFA)
- Gaine : Hulliflex rose
Photos :
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![[Image: IMG-20251224-102903.jpg]](https://i.postimg.cc/rsVnN6QQ/IMG-20251224-102903.jpg)

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