11-30-2018, 07:53 PM
(11-30-2018, 06:26 PM)micseig a écrit : Deux choses :
Pour moi aussi le son du DP3 gagne un peu (en aération) avec un SSD autoalimenté.
En ce qui concerne le volume optimal du DP3, le lien e&m donné par David justifie le 100% par «Le volume des sources numériques est un atténuateur, pas un ampli». Mais est-ce vrai pour le DP3 qui est à la base un ampli-casque ?
En outre, il doit y avoir un problème très général d’optimisation du gain de sortie de la source (quelle qu’elle soit) avec la sensibilité de l’entrée de l’étage préampli par rapport au volume d’écoute. Si le gain de sortie de la source est trop fort -> distorsion (écrêtage); s’il est trop faible -> on pousse le volume de l’ampli -> éventuellement bruit ou/et distorsion.
Le gain est en général adapté au matériel en hifi. Il faut faire attention quand on mixe matos hifi et matos pro par contre.
Je ne crois pas, donc, que le gain de la sortie du DAC du DP3 soit en cause, car ce serait un défaut de fabrication qui aurait été remarqué par les premiers utilisateurs.
En tous cas, un préampli est de toutes façons un atténuateur, numérique ou non, et c'est bien le problème en analogique également, où la technique est complexe si on veut limiter les pertes de qualité sur le signal.
Dans le cas du DP3, ampli casque ou non (Les DAC avec gestion du volume sont en général des ampli casques, de plus ou moins bonne qualité), la gestion du volume est une atténuation également, soit assurée par le DAC, et donc absente si on l'utilise comme simple lecteur numérique, soit elle peut être également logicielle, donc en amont du DAC. Apparemment, le logiciel interne propriétaire ne facilite pas la compréhension des choses. Mais dans un cas comme dans l'autre, la perte de résolution n'implique pas de pertes de qualité audible si la résolution est de 24 bits ou plus.
Dans le cas d'une gestion logicielle en amont du DAC, cela peut effectivement poser des problèmes avec des fichiers 16 bits, si on baisse le volume de manière notable. (Pas de quelques % seulement).
Dans le cas d'une gestion par la puce DAC, si celle ci travaille en 24 bits ou plus, et upsample les fichiers entrant, cela pose moins de problèmes. C'est un peu ce qui semble se passer (Je dis "semble" car il est difficile d'y voir parfaitement clair là aussi) sur les "petits" FDA chinois.
Bien entendu, aucune gestion du volume n'est possible en numérique pour un flux DSD si on veut le convertir en natif, sur le DP3 ou sur tout lecteur réseau/DAC.
Donc, ces histoires de gestion du volume logiciel sont à relativiser, car à moins d'atténuer énormément parce qu'on a ses amplis analogiques à fond, cela n'a pas d'influence audible. Dans le cas d'une gestion par une puce DAC ou un FGPA ou tout autre DSP interne au DAC, en dehors de mauvaises conceptions, les choses sont encore moins problématiques, et en tous cas pas plus problématiques que la gestion en aval par un préampli analogique (Qui peut certes présenter d'autres avantages, néanmoins).
Enceintes: XZT Divine 100.33
Amplificateur: RAM Audio Zetta Z420
DAC: RME ADI 2 DAC
Lecteur: Ropiee sur Allo USBridge
Serveur audio: Roon Core sur NUC 8i5 (ROCK)
Amplificateur: RAM Audio Zetta Z420
DAC: RME ADI 2 DAC
Lecteur: Ropiee sur Allo USBridge
Serveur audio: Roon Core sur NUC 8i5 (ROCK)