Il y a 6 heures
Dès les premières minutes d’écoute, la hiérarchie s’impose avec évidence : sur une box alimentée en 12 V, la iFi Power Elite prend une nette avance sur la Sbooster. La scène sonore s’ouvre davantage, l’image gagne en largeur et l’ensemble respire mieux. C’est une amélioration que l’on perçoit immédiatement, sans devoir chercher midi à quatorze heures.
Pour affiner ce constat, j’ai également branché la WattCat – pas la version full option, mais une configuration déjà sérieuse, équipée de condensateurs Lefson. Et là encore, la cohérence est totale : chaque alimentation conserve son rang. La Power Elite reste la plus équilibrée des modèles à découpage, alliant ouverture et contrôle, tandis que la Sbooster, plus ancienne, accuse le coup.
La surprise vient du rendu visuel. Reliée en filaire à une TV OLED avec un câble Bivani, la box révèle sans filtre les écarts de restitution : sur Netflix, la WattCat s’impose par un piqué d’image et une profondeur de contraste remarquables. La Power Elite suit de près, toujours impressionnante par sa propreté et sa stabilité, mais la Sbooster prend ici une véritable leçon.
D’autres testeurs avaient relevé ces tendances, notamment sur Head‑Fi, où la Power Elite ressortait déjà devant la Sbooster. Dans ce comparatif, la Pura Dodo faisait aussi figure de référence absolue, écrasant la concurrence.
En somme, la Power Elite confirme son statut : une alimentation à découpage redoutablement performante, capable de défier des modèles linéaires plus coûteux, tout en offrant une scène sonore et visuelle d’une ampleur rare.
enjoy
Pour affiner ce constat, j’ai également branché la WattCat – pas la version full option, mais une configuration déjà sérieuse, équipée de condensateurs Lefson. Et là encore, la cohérence est totale : chaque alimentation conserve son rang. La Power Elite reste la plus équilibrée des modèles à découpage, alliant ouverture et contrôle, tandis que la Sbooster, plus ancienne, accuse le coup.
La surprise vient du rendu visuel. Reliée en filaire à une TV OLED avec un câble Bivani, la box révèle sans filtre les écarts de restitution : sur Netflix, la WattCat s’impose par un piqué d’image et une profondeur de contraste remarquables. La Power Elite suit de près, toujours impressionnante par sa propreté et sa stabilité, mais la Sbooster prend ici une véritable leçon.
D’autres testeurs avaient relevé ces tendances, notamment sur Head‑Fi, où la Power Elite ressortait déjà devant la Sbooster. Dans ce comparatif, la Pura Dodo faisait aussi figure de référence absolue, écrasant la concurrence.
En somme, la Power Elite confirme son statut : une alimentation à découpage redoutablement performante, capable de défier des modèles linéaires plus coûteux, tout en offrant une scène sonore et visuelle d’une ampleur rare.
enjoy
