Hello.
Premières impressions concernant l’EtherRegen, arrivée il y a dix jours et patiemment rodée. Que je ne découvre pas complètement, puisque grâce à Thomas, j’avais eu l’occasion de faire un rapide test à la maison, et de pouvoir participer à un autre, plus conséquent, chez Roberto (vs le Meraki non tweaké, non cascadé).
Faut-il rappeler une évidence, celle que ce n’est pas le jour et la nuit avec ou sans ER ? Allez, disons-oui, ça ne fait pas de mal, et c’est la vérité des premières secondes d’écoute. Mais, très vite, des sensations apparaissent clairement : un net gain de silence, plus de transparence aussi, et une sorte de fluidité et de « douceur » qui vont de pair avec l’impression que les timbres sont plus justes. Les choses sont plus subtiles, des nuances - dans la modulation des voix ou le jeu instrumental - jusqu’ici passées inaperçues deviennent perceptibles. Les intentions musicales sont plus évidentes. Et la crédibilité monte de quelques belles marches d’un coup. Merde alors, les poils se dressent, ça faisait un bail que cela ne m’était pas arrivé !
Mêmes impressions, peut-être plus surprenantes encore chez le copain Olivier, l’occasion s’étant présentée de voir ce que donnait la bestiole sur un autre système. Alors que la restitution me semblait performante, mais trop froide, me laissant sur ma faim en termes d’implication, l’ajout de l’ER apporte un plus surprenant, là encore des nuances et de la subtilité qui humanisent l’interprétation et me scotchent. En résumé, je trouve que le principal effet est là : cette bestiole me semble être un sacré révélateur de subtilités !
Premières impressions concernant l’EtherRegen, arrivée il y a dix jours et patiemment rodée. Que je ne découvre pas complètement, puisque grâce à Thomas, j’avais eu l’occasion de faire un rapide test à la maison, et de pouvoir participer à un autre, plus conséquent, chez Roberto (vs le Meraki non tweaké, non cascadé).
Faut-il rappeler une évidence, celle que ce n’est pas le jour et la nuit avec ou sans ER ? Allez, disons-oui, ça ne fait pas de mal, et c’est la vérité des premières secondes d’écoute. Mais, très vite, des sensations apparaissent clairement : un net gain de silence, plus de transparence aussi, et une sorte de fluidité et de « douceur » qui vont de pair avec l’impression que les timbres sont plus justes. Les choses sont plus subtiles, des nuances - dans la modulation des voix ou le jeu instrumental - jusqu’ici passées inaperçues deviennent perceptibles. Les intentions musicales sont plus évidentes. Et la crédibilité monte de quelques belles marches d’un coup. Merde alors, les poils se dressent, ça faisait un bail que cela ne m’était pas arrivé !
Mêmes impressions, peut-être plus surprenantes encore chez le copain Olivier, l’occasion s’étant présentée de voir ce que donnait la bestiole sur un autre système. Alors que la restitution me semblait performante, mais trop froide, me laissant sur ma faim en termes d’implication, l’ajout de l’ER apporte un plus surprenant, là encore des nuances et de la subtilité qui humanisent l’interprétation et me scotchent. En résumé, je trouve que le principal effet est là : cette bestiole me semble être un sacré révélateur de subtilités !
Système (ici) : Ampli Kinki EX M1, enceintes Martin Logan ESL X, dac B.Audio B.dac One EX, serveur PC fanless i7 (GentooPlayer + Minimserver + JPlay et/ou Audirvana), switch Lhy sw6 + FMC Lhy