A y est ! J'ai lu sans entrer dans les démos mathématiques.
La pression P est donc proportionnelle à j.ω.Vm, c’est à dire l’accélération de la membrane et non à la vitesse ou au déplacement auxquels nous sommes plus sensibles lors de l’observation de la membrane. L’accélération de la membrane est constante après la fréquence de résonance du système masse ressort équivalent
Cela, tu nous l'avais déjà enseigné Audyart, et je ne l'ai pas oublié. Je n'ai toutefois pas trouvé trace dans l'article de la description intime du phénomène de couplage air-membrane produisant le son au niveau particulaire.
Je suis persuadé qu'à proximité de la membrane ou de l'évent se produisent des mouvements convectifs, il ne saurait en être autrement.
A plus grande distance, une fois l'onde sonore formée débarrassée des convections de proximité, je ne doute pas que le mouvement des particules qui la porte ne se conforme dans les grandes lignes, à la théorie qui veut qu'il s'agisse d'un mouvement vibratoire rectiligne orienté radialement à la source.
Toutefois, je ne serais pas surpris que le segment de droite parcouru par la particule de fluide (plus que la molécule, qui suit une trajectoire probabiliste) ne s'apparente en réalité davantage à un ellipsoïde très allongé pouvant dans une certaine mesure ressembler à des micro-turbulences de type convectif.
En d'autres termes, j'aimerais bien vérifier avec une caméra qu'après passage de l'onde, les brins de poussière retrouvent rigoureusement leur place et leur orientation ou seulement approximativement de la même façon qu'une vague ne disperse théoriquement pas les objets à la surface de l'eau mais qu'en réalité il y a toujours un petit quelque chose lié aux turbulences après passage du rouleau. Et l'air est beaucoup plus subtil que l'eau...
La pression P est donc proportionnelle à j.ω.Vm, c’est à dire l’accélération de la membrane et non à la vitesse ou au déplacement auxquels nous sommes plus sensibles lors de l’observation de la membrane. L’accélération de la membrane est constante après la fréquence de résonance du système masse ressort équivalent
Cela, tu nous l'avais déjà enseigné Audyart, et je ne l'ai pas oublié. Je n'ai toutefois pas trouvé trace dans l'article de la description intime du phénomène de couplage air-membrane produisant le son au niveau particulaire.
Je suis persuadé qu'à proximité de la membrane ou de l'évent se produisent des mouvements convectifs, il ne saurait en être autrement.
A plus grande distance, une fois l'onde sonore formée débarrassée des convections de proximité, je ne doute pas que le mouvement des particules qui la porte ne se conforme dans les grandes lignes, à la théorie qui veut qu'il s'agisse d'un mouvement vibratoire rectiligne orienté radialement à la source.
Toutefois, je ne serais pas surpris que le segment de droite parcouru par la particule de fluide (plus que la molécule, qui suit une trajectoire probabiliste) ne s'apparente en réalité davantage à un ellipsoïde très allongé pouvant dans une certaine mesure ressembler à des micro-turbulences de type convectif.
En d'autres termes, j'aimerais bien vérifier avec une caméra qu'après passage de l'onde, les brins de poussière retrouvent rigoureusement leur place et leur orientation ou seulement approximativement de la même façon qu'une vague ne disperse théoriquement pas les objets à la surface de l'eau mais qu'en réalité il y a toujours un petit quelque chose lié aux turbulences après passage du rouleau. Et l'air est beaucoup plus subtil que l'eau...
Pluie du matin n'arrête pas le sous-marin