10-08-2016, 01:46 PM
(Modification du message : 10-08-2016, 03:07 PM par Musicalbox.)
Ce n'est pas le même produit.
La gamme classique reste la plus "pure" .
Aucune Spendor ne fonctionne avec une association approximative, le gros piège étant que vu ce qui en sort, si on ne les a jamais entendues vraiment exploitées on peut croire que ça fonctionne, et qu'on sait ce qu'elles valent, en réalité dans ces cas là cela sort du son, c'est tout.
Les gammes plus grand public (tout étant relatif), donc colonnes, sont conçues pour faite de l'image facilement, on ne peut pas dire qu'elles sont moins compliquées pour autant.
Simplement elles font plus facilement du spectacle.
Les classiques sont plus cruelles, elles mettent en direct sur le système, c'est la grosse différence.
Aucune n'apporte de caractéristiques, ni "chaleureuses", ni plus ou moins ceci ou cela, elles font exactement ce que l'ampli et le reste donnent.
On change de caractère d'ampli, on change d'univers.
Dans tous les cas il faut de la poigne au niveau amplification. Une alimentation sérieuse.
Mêle si certains chiffres ne le laissent pas supposer.
Côté câblage même chose on reçoit exactement ce qu'on lui donne : maigre = maigre.
En gros avec cette marque on a l'impression de passer son système à la radiographie....
Surtout la gamme classique.
Les deux niveaux de produits sont intéressants, les deux sont pointilleux sur la mise en œuvre.
Un point commun entre les deux : on n'a jamais l'impression de forcer.
Quand on leur ouvre les portes il n'y a pas de frein.
Attention à l'évent arrière, il faut plus de distance au mur.
Côté liaison au sol, pour les colonnes de gros cônes font une grosse différence.
Plaque minérale si moquette (ou plancher) obligatoire.
Une Spendor pas tout à fait associée ou pas tout à fait mise en oeuvre est une Spendor à côté de laquelle on passe.
Par contre à l'inverse lorsque tout est au point c'est impressionnant.
Oui
ce qui signifie que si l'on n'a pas trouvé une Spendor impressionnante quels ques que soient les retranchements ou on la pousse, c'est qu'on a raté une marche dans l'installation.
Ma préférence allant quand même au 30 cm des grosses briques, je le reconnais.
Il y a bien sûr beaucoup mieux, mais c'est beaucoup plus cher.
PS
Et surtout il est à signaler qu'aucun style de musique ne les gêne.
Du fouillis de Nightwish à la valse d'Amelie Poulain, du vibrato des extrêmes fins de mots de Lavilliers qui finit dans un souffle à la vigueur de Trombone shorty, d'Ozone Percussions à tomber les murs à la délicatesse des harmoniques de clavecin.
Alors pour sortir un peu des sentiers battus, je remercie Lionel de médiatiser une marque qui échappe aux modes.
(J'avais oublié de le dire)
La gamme classique reste la plus "pure" .
Aucune Spendor ne fonctionne avec une association approximative, le gros piège étant que vu ce qui en sort, si on ne les a jamais entendues vraiment exploitées on peut croire que ça fonctionne, et qu'on sait ce qu'elles valent, en réalité dans ces cas là cela sort du son, c'est tout.
Les gammes plus grand public (tout étant relatif), donc colonnes, sont conçues pour faite de l'image facilement, on ne peut pas dire qu'elles sont moins compliquées pour autant.
Simplement elles font plus facilement du spectacle.
Les classiques sont plus cruelles, elles mettent en direct sur le système, c'est la grosse différence.
Aucune n'apporte de caractéristiques, ni "chaleureuses", ni plus ou moins ceci ou cela, elles font exactement ce que l'ampli et le reste donnent.
On change de caractère d'ampli, on change d'univers.
Dans tous les cas il faut de la poigne au niveau amplification. Une alimentation sérieuse.
Mêle si certains chiffres ne le laissent pas supposer.
Côté câblage même chose on reçoit exactement ce qu'on lui donne : maigre = maigre.
En gros avec cette marque on a l'impression de passer son système à la radiographie....
Surtout la gamme classique.
Les deux niveaux de produits sont intéressants, les deux sont pointilleux sur la mise en œuvre.
Un point commun entre les deux : on n'a jamais l'impression de forcer.
Quand on leur ouvre les portes il n'y a pas de frein.
Attention à l'évent arrière, il faut plus de distance au mur.
Côté liaison au sol, pour les colonnes de gros cônes font une grosse différence.
Plaque minérale si moquette (ou plancher) obligatoire.
Une Spendor pas tout à fait associée ou pas tout à fait mise en oeuvre est une Spendor à côté de laquelle on passe.
Par contre à l'inverse lorsque tout est au point c'est impressionnant.
Oui
ce qui signifie que si l'on n'a pas trouvé une Spendor impressionnante quels ques que soient les retranchements ou on la pousse, c'est qu'on a raté une marche dans l'installation. Ma préférence allant quand même au 30 cm des grosses briques, je le reconnais.
Il y a bien sûr beaucoup mieux, mais c'est beaucoup plus cher.
PS
Et surtout il est à signaler qu'aucun style de musique ne les gêne.
Du fouillis de Nightwish à la valse d'Amelie Poulain, du vibrato des extrêmes fins de mots de Lavilliers qui finit dans un souffle à la vigueur de Trombone shorty, d'Ozone Percussions à tomber les murs à la délicatesse des harmoniques de clavecin.
Alors pour sortir un peu des sentiers battus, je remercie Lionel de médiatiser une marque qui échappe aux modes.
(J'avais oublié de le dire)