Je vais encore vous pomper l'air avec l'AIR, mais quand j'ai fait la comparaison sur D200+24 entre Ethernet complet (Mac mini-airport extrême-Devialet), Wifi complet (même fréquence) et Ethernet avec le pont de Phile sur le bleu optique entre l'airport et l'ampli, cette dernière connexion s'est retrouvé à mi-chemin entre les deux autres sur les critères de "propreté du son" et de transparence, le reste à peu près équivalent. Peut-être (sûrement) que les émetteurs et récepteurs de wifi nettoient le signal numérique en même temps qu'ils le contrôlent et qu'ils le redemandent en cas d'erreur (comme Ethernet ou Firewire). Les câbles sont le drame de la haute fidélité. les différences de résultats en équilibre tonal, image, dynamique, définition sont hallucinantes. Ce n'est pas Thierry qui dira le contraire, puisqu'il l'a déjà dit. D'un coté, cela aide à compenser les autres défauts de la chaine, de l'autre, cela prouve que les transmissions de signal entre éléments sont du niveau évolutif de la charrue à boeufs. (J'attends la réponse de Nathalie). Vivement le système HdG sans câbles (sauf peut-être pour les HPs).
L'essai du Bryston serait intéressant. C'est l'ampli idéal pour les situations désespérées, les locaux à noeuds, les enceintes qui bavent, les gamelles de 46 cm. C'est pas le top en médium aigu, mais dans le cadre d'un plan Orsec, faut pas hésiter.
Mais bon, il y a plein de moyens de rendre cette pièce "like torchis". J'ai quelques ouvrages à traduire du japonais qui donnent toutes les ressources imaginables. Ça va forcément marcher, déjà simplement pour relever le défi. Le bon point de départ : il n'y a pas un gramme de placoplâtre.
Perfidement, sans vouloir énerver personne (c'est du second degré).
Au fait, pour la centrale, je peux te donner les plans de celle que j'ai fabriqué avec un AMT et deux 17cm, qui fait à peu près 30 cm de haut, facilement logeable sous l'écran (je ne suis pas convaincu par les écrans dits transparents acoustiquement), et avec tubes d'amortissement évidemment.
Pour l'écran, un écran souple sur cadre espacé de 10 cm du mur (et pas collé au mur), ou suspendu, est un très bon absorbeur de vibrations sonores qui n'ont rien à foutre dans ce secteur. Je te déconseille donc l'écran Oled, sans que cela soit non plus trop critique, j'ai ça entre les 24, et il faut soigner le positionnement en profondeur par rapport aux enceintes. Et pour l'écartement des enceintes, j'attends les mesures de ta pièce, grosso-modo, la position des portes, de l'escalier, le fait que la cloison traverse toute la cave, ce genre de détails.
L'essai du Bryston serait intéressant. C'est l'ampli idéal pour les situations désespérées, les locaux à noeuds, les enceintes qui bavent, les gamelles de 46 cm. C'est pas le top en médium aigu, mais dans le cadre d'un plan Orsec, faut pas hésiter.
Mais bon, il y a plein de moyens de rendre cette pièce "like torchis". J'ai quelques ouvrages à traduire du japonais qui donnent toutes les ressources imaginables. Ça va forcément marcher, déjà simplement pour relever le défi. Le bon point de départ : il n'y a pas un gramme de placoplâtre.
Perfidement, sans vouloir énerver personne (c'est du second degré).
Au fait, pour la centrale, je peux te donner les plans de celle que j'ai fabriqué avec un AMT et deux 17cm, qui fait à peu près 30 cm de haut, facilement logeable sous l'écran (je ne suis pas convaincu par les écrans dits transparents acoustiquement), et avec tubes d'amortissement évidemment.
Pour l'écran, un écran souple sur cadre espacé de 10 cm du mur (et pas collé au mur), ou suspendu, est un très bon absorbeur de vibrations sonores qui n'ont rien à foutre dans ce secteur. Je te déconseille donc l'écran Oled, sans que cela soit non plus trop critique, j'ai ça entre les 24, et il faut soigner le positionnement en profondeur par rapport aux enceintes. Et pour l'écartement des enceintes, j'attends les mesures de ta pièce, grosso-modo, la position des portes, de l'escalier, le fait que la cloison traverse toute la cave, ce genre de détails.