La remarque de Ethan au sujet des disques ECM est intéressante. Si l'on souhaite faire passer la dynamique sans raboter les crêtes, il faut enregistrer à un niveau moyen plus faible d'où la nécessité de tourner plus la commande de volume afin d'obtenir un niveau moyen réaliste. Mais il faut que le reste suive: puissance de l'amplificateur et puissance crête admissible des enceintes. Dans ces conditions, la position du potentiomètre a peu d'importance.
Un amplificateur puissant n'est pas nécessaire si l'on écoute des enregistrements compressés puisque le niveau moyen est pratiquement confondu avec le niveau crête à fortiori si l'écoute se déroule dans un local dont la décroissance énergétique est trop longue car l'absorption des parois est insuffisante et contribue par là à l'accroissement du niveau sonore.
Le temps de décroissance énergétique de 250 ms pour 100 m3 que j'ai indiqué dans un précédent message correspond à une installation home-cinéma. En reproduction musicale, on cherchera plutôt à obtenir 300 à 350 ms pour le même volume.
Je suis d'accord avec Nicoben au sujet de la chaîne de gain. Un amplificateur de 200 W applique une tension de 40 volts efficaces à une charge de 8 ohms. Un lecteur de CD produit environ 2 volts efficaces à 0 dBFS. Le gain nécessaire est donc de 26 dB ni plus ni moins. L'absence de norme d'enregistrement en hifi impose la présence d'un atténuateur de gain. L'utilisation d'une platine vinyle dont la cellule délivre 2 mV à 5 cm/s impose un gain total de 86 dB pour obtenir les 40 volts entre les bornes de sortie de l'amplificateur.
La présence de nombreux et gros condensateurs d'alimentation n'est pas forcément un gage de qualité. La constante de temps de l'alimentation ( le temps qu'elle prend pour retrouver sa tension nominale après un appel de courant ) augmente avec la valeur de ces capacités de filtrage. Il ne sert à rien d'installer des condensateurs de valeur élevée si la constante de temps de l'alimentation est telle que l'on a le temps d'aller boire un café après l'appel de courant d'un coup de timbale avant que l'alimentation retrouve sa tension nominale. Rinaldo Bassi ( encore lui ), suggérait une constante de temps d'environ 12 ms pour respecter la courbe enveloppe du signal.
Un amplificateur puissant n'est pas nécessaire si l'on écoute des enregistrements compressés puisque le niveau moyen est pratiquement confondu avec le niveau crête à fortiori si l'écoute se déroule dans un local dont la décroissance énergétique est trop longue car l'absorption des parois est insuffisante et contribue par là à l'accroissement du niveau sonore.
Le temps de décroissance énergétique de 250 ms pour 100 m3 que j'ai indiqué dans un précédent message correspond à une installation home-cinéma. En reproduction musicale, on cherchera plutôt à obtenir 300 à 350 ms pour le même volume.
Je suis d'accord avec Nicoben au sujet de la chaîne de gain. Un amplificateur de 200 W applique une tension de 40 volts efficaces à une charge de 8 ohms. Un lecteur de CD produit environ 2 volts efficaces à 0 dBFS. Le gain nécessaire est donc de 26 dB ni plus ni moins. L'absence de norme d'enregistrement en hifi impose la présence d'un atténuateur de gain. L'utilisation d'une platine vinyle dont la cellule délivre 2 mV à 5 cm/s impose un gain total de 86 dB pour obtenir les 40 volts entre les bornes de sortie de l'amplificateur.
La présence de nombreux et gros condensateurs d'alimentation n'est pas forcément un gage de qualité. La constante de temps de l'alimentation ( le temps qu'elle prend pour retrouver sa tension nominale après un appel de courant ) augmente avec la valeur de ces capacités de filtrage. Il ne sert à rien d'installer des condensateurs de valeur élevée si la constante de temps de l'alimentation est telle que l'on a le temps d'aller boire un café après l'appel de courant d'un coup de timbale avant que l'alimentation retrouve sa tension nominale. Rinaldo Bassi ( encore lui ), suggérait une constante de temps d'environ 12 ms pour respecter la courbe enveloppe du signal.
