RENCONTRES chez JALUCINE

[jalucine]

Enfin, la lecture de vinyl est opérationnelle. Après des soucis au niveau du pré-pré déjà commentés, l'alimentation régulée du moteur de la platine devenait asthénique et elle ne voulait plus faire du 33,3 t/mn, et encore poins du 45.

Gilles, le manitou du fer à souder de Sologne, a trouvé la solution et je l'en remercie chaleureusement.

L'écoute de toutes ces merveilles accumulées depuis des décennies commençaient à me manquer sérieusement. Quelques exemples parmi pas mal de raretés :









Je pense que je vais ré-explorer ma discothèque de vinyl pendant quelques temps.

Et puis cette belle platine commençait à jalouser les autres sources.



Je n'ai pas de différence d'équilibre en moyenne. J'avais choisi les cellules Dynavector justement pour leur neutralité par rapport à toutes celles que j'avais testées à la grande époque où le numérique donnait encore la grimace. Ce n'est plus le cas, et le plaisir est équivalent. Reste que la qualité technique est extrêmement variable, et si les meilleurs taquinent les meilleurs enregistrements numériques en dynamique et résolution, la transparence n'est pas tout-à-fait au même niveau. Le vinyl se rattrape souvent sur l'homogénéité des timbres, et cela rend l'écoute agréable si la musique est bonne, même si le reste ne suit pas. Je viens d'écouter Toscanini sur une galette d'époque, trois fois plus lourde que les vinyls actuels, avec une pub pour les "nouveaux microsillons". Ça gratte beaucoup, le bruit de fond couvre des détails, mais c'est Toscanini. Je ne suis pas sûr que l'émotion est la même sur les transcriptions numériques.