Si on considère une dynamique d'un fichier musical à par exemple 44db, ce qui doit être une bonne moyenne en musique classique et jazz, avec des pics de niveau à 96 db, pour une enceinte disposant d'un rendement de 96 db/w, la puissance demandée va aller de 1 w à 0,03 milliwatt. Je ne tiens pas compte de la distance pour cette comparaison.
Pour une enceinte de 84 db/w, la puissance sollicitée sera de 16 w à 0,5 mw, à peu près 15 fois plus.
Pour une enceinte à très haut rendement, les meilleures chambres de compression avec pavillons, on sera entre 15 mw et 0,0005 mw (0,0000005 watt).
Donc les plus petits détails qui participent à la "vérité" d'une reproduction sur un bon système à pavillon vont solliciter les amplis dans un zone de travail plus ou moins noyée dans le bruit de fond, la distorsion de croisement entre les polarités de l'alimentation, et les différents types de distorsions existantes. Le rapport de puissance électrique pour la même puissance acoustique entre enceintes de haut et bas rendement peut donc atteindre un facteur de 1000, pour se donner une idée approximative.
Pour optimiser son amplificateur en fonction de cela, un concepteur d'ampli ne va pas partir du tout sur les mêmes bases technologiques.
La liaison entre un 38 cm sans pavillon, généralement en B.R., avec un pavillon médium est donc un exercice difficile, et les pleines réussites sont rares, bien que je sois loin d'avoir écouté tous les systèmes de ce type. L'un des plus cohérents étaient celui-ci :
https://forum-hifi.fr/thread-9266-post-8...#pid808687
mais en tri-amplification, filtre actif réglé aux petits oignons et boomer exceptionnel en rendement et "muscle".
Pour une enceinte de 84 db/w, la puissance sollicitée sera de 16 w à 0,5 mw, à peu près 15 fois plus.
Pour une enceinte à très haut rendement, les meilleures chambres de compression avec pavillons, on sera entre 15 mw et 0,0005 mw (0,0000005 watt).
Donc les plus petits détails qui participent à la "vérité" d'une reproduction sur un bon système à pavillon vont solliciter les amplis dans un zone de travail plus ou moins noyée dans le bruit de fond, la distorsion de croisement entre les polarités de l'alimentation, et les différents types de distorsions existantes. Le rapport de puissance électrique pour la même puissance acoustique entre enceintes de haut et bas rendement peut donc atteindre un facteur de 1000, pour se donner une idée approximative.
Pour optimiser son amplificateur en fonction de cela, un concepteur d'ampli ne va pas partir du tout sur les mêmes bases technologiques.
La liaison entre un 38 cm sans pavillon, généralement en B.R., avec un pavillon médium est donc un exercice difficile, et les pleines réussites sont rares, bien que je sois loin d'avoir écouté tous les systèmes de ce type. L'un des plus cohérents étaient celui-ci :
https://forum-hifi.fr/thread-9266-post-8...#pid808687
mais en tri-amplification, filtre actif réglé aux petits oignons et boomer exceptionnel en rendement et "muscle".
1max : http://forum-hifi.fr/thread-1383.html
J24 : http://forum-hifi.fr/thread-182.html
H.C. : http://forum-hifi.fr/thread-12124-post-2...#pid246840
J25 : http://forum-hifi.fr/thread-183.html
J26 : http://forum-hifi.fr/thread-1131-post-19...#pid193456
La rencontre : http://forum-hifi.fr/thread-12918.html