07-10-2025, 01:28 PM
Bonjour,
Je me permets d’apporter mon petit grain de sel, car même si je suis encore un « bébé audiophile » en termes d’expérience, je reste avant tout une mélomane.
À une époque où la majorité achetait encore des vinyles, je dématérialisais déjà mes CD audio. Cela m’a permis de constituer une belle collection de fichiers : entre collectionneurs d’opéra, nous échangions nos CD, je les copiais, puis les troquais contre d’autres coffrets.
Aujourd’hui, ma bibliothèque compte plus de 10 téraoctets de musique, principalement en classique, mais aussi en jazz et en rock.
Puis est venu le temps du peer-to-peer et de la dématérialisation généralisée, avec l’arrivée des plateformes et l’achat de musique numérique devenu la norme.
Et pourtant, du point de vue de la qualité audio — et même si certains diront que je fais tout à l’envers —, je reviens désormais au CD physique, alors que je collectionne des fichiers audio depuis plus de vingt ans.
Pourquoi ce retour au CD ?
1. Qualité audio
Même si la musique dématérialisée offre une excellente qualité, celle d’un CD peut être supérieure dans certains cas.
2. Opportunité de collection
Beaucoup de passionnés bradent leurs collections de CD en passant au tout-numérique, ce qui permet aujourd’hui de se constituer une superbe discothèque à moindre coût (en achetant par lots, le prix d’un CD peut descendre à environ 70 centimes pièce).
3. Complémentarité des formats
Rien n’empêche de profiter des deux modes d’écoute : c’est mon cas, je savoure à la fois ma collection de CD et mes nombreux fichiers en 16 bits, 24 bits, DSD, etc.
Et le vinyle dans tout ça ?
Se focaliser sur le vinyle n’a, selon moi, d’intérêt que si l’on possède déjà une belle collection. Sinon, il faut prendre en compte :
• Le matériel plus coûteux (platine, cellule…)
• L’usure inévitable de la cellule et sa durée de vie limitée
• Un marché de niche où les prix ne baissent jamais
• Le risque de se ruiner sans réel gain audio, surtout si l’on part de zéro
Bref, il est tout à fait possible de conjuguer plaisir d’écoute, qualité et collection, sans forcément céder à la mode du vinyle, surtout si l’on souhaite optimiser son budget et la diversité de sa discothèque.
Je me permets d’apporter mon petit grain de sel, car même si je suis encore un « bébé audiophile » en termes d’expérience, je reste avant tout une mélomane.
À une époque où la majorité achetait encore des vinyles, je dématérialisais déjà mes CD audio. Cela m’a permis de constituer une belle collection de fichiers : entre collectionneurs d’opéra, nous échangions nos CD, je les copiais, puis les troquais contre d’autres coffrets.
Aujourd’hui, ma bibliothèque compte plus de 10 téraoctets de musique, principalement en classique, mais aussi en jazz et en rock.
Puis est venu le temps du peer-to-peer et de la dématérialisation généralisée, avec l’arrivée des plateformes et l’achat de musique numérique devenu la norme.
Et pourtant, du point de vue de la qualité audio — et même si certains diront que je fais tout à l’envers —, je reviens désormais au CD physique, alors que je collectionne des fichiers audio depuis plus de vingt ans.
Pourquoi ce retour au CD ?
1. Qualité audio
Même si la musique dématérialisée offre une excellente qualité, celle d’un CD peut être supérieure dans certains cas.
2. Opportunité de collection
Beaucoup de passionnés bradent leurs collections de CD en passant au tout-numérique, ce qui permet aujourd’hui de se constituer une superbe discothèque à moindre coût (en achetant par lots, le prix d’un CD peut descendre à environ 70 centimes pièce).
3. Complémentarité des formats
Rien n’empêche de profiter des deux modes d’écoute : c’est mon cas, je savoure à la fois ma collection de CD et mes nombreux fichiers en 16 bits, 24 bits, DSD, etc.
Et le vinyle dans tout ça ?
Se focaliser sur le vinyle n’a, selon moi, d’intérêt que si l’on possède déjà une belle collection. Sinon, il faut prendre en compte :
• Le matériel plus coûteux (platine, cellule…)
• L’usure inévitable de la cellule et sa durée de vie limitée
• Un marché de niche où les prix ne baissent jamais
• Le risque de se ruiner sans réel gain audio, surtout si l’on part de zéro
Bref, il est tout à fait possible de conjuguer plaisir d’écoute, qualité et collection, sans forcément céder à la mode du vinyle, surtout si l’on souhaite optimiser son budget et la diversité de sa discothèque.