04-01-2025, 02:55 PM
Et bien je crois que les sons et la musique se confondent. Quant à la musique, je pense qu'elle n’est qu’un vecteur de transport qui nous mène à quelque chose de plus grand que son écoute.
VdGG à cité B. Lavilliers que j’aime bien: Dans "QHS" la porte de métal qui se referme en grinçant ponctue le rythme et participe de la composition musicale. Pareil dans "la malédiction du voyageur" où l’omniprésence du vent est primordiale.
Que dire de l’heliophone créé au début du xviieme siècle comme machine à vent utilisée par Lully, Marin Marais, Purcell et tellement d’autres (bien plus tard Schubert puis Ravel etc...).
Que penser du "ballet mécanique " d’Antheil en 1924 avec enclumes, hélices d’avion, klaxons de voitures... Ou de Pierre Henri et de Schaeffer!
Tout son peut être musical s’il offre la découverte d’un temps qui nous est intime tout en nous portant vers une universalité immemorielle: Le génie de l’art musical est de conjuguer des sons qui sont pour l’écoutant révélation spirituelle et peut-être aussi morale. Un événement purement temporel et qui, pourtant, trouve en nous une mise en phase avec une immuable éternité.
VdGG à cité B. Lavilliers que j’aime bien: Dans "QHS" la porte de métal qui se referme en grinçant ponctue le rythme et participe de la composition musicale. Pareil dans "la malédiction du voyageur" où l’omniprésence du vent est primordiale.
Que dire de l’heliophone créé au début du xviieme siècle comme machine à vent utilisée par Lully, Marin Marais, Purcell et tellement d’autres (bien plus tard Schubert puis Ravel etc...).
Que penser du "ballet mécanique " d’Antheil en 1924 avec enclumes, hélices d’avion, klaxons de voitures... Ou de Pierre Henri et de Schaeffer!
Tout son peut être musical s’il offre la découverte d’un temps qui nous est intime tout en nous portant vers une universalité immemorielle: Le génie de l’art musical est de conjuguer des sons qui sont pour l’écoutant révélation spirituelle et peut-être aussi morale. Un événement purement temporel et qui, pourtant, trouve en nous une mise en phase avec une immuable éternité.