03-17-2025, 11:29 PM
Bonsoir à tous,
Je souscris pleinement à l’idée du « pas de règle » mais des oreilles et des essais !!
En plus de tous les bons conseils déjà donnés, et si la pièce n’est pas complément symétrique le pincement peut-être différent entre la gauche et la droite. J’ai connu ce cas de figure avec les Signature.
Autre apprentissage qui pourrait être utile:
Si vous êtes contraints de limiter l’écartement avec mur du fond, le pincement permet parfois de limiter les effets de résonance (évent arrière face au mur du fond) sans avoir nécessairement recours à des panneaux de traitement passif qui n’ont pas toujours leur place dans l’esthétique des pièces de vie.
Pour information, nous sommes allés (avec succès) jusqu’à incliner les enceintes de quelques petits grès dans l’axe vertical cette fois (en jouant sur la vis du point d’appui central).
Pour finir, quand on n’est pas loin de l’isocèle, pour trouver le bon pincement, à titre perso, j’écoute les 3 dimensions de scène sonore (surtout largeur et profondeur mais aussi, certes moindrement la hauteur) et la largeur du sweet spot. Trop pincer peut par exemple engendrer la matérialisation d’une sorte de bulle sonore centrale hypertrophiée avec même dans mon observation (donc sans aucune robustesse « scientifique »), parfois un décalage entre le niveau d’amortissement de la salle perçu au sweet spot et 5cm à droite ou à gauche.
À l’inverse quand on n’est pas assez pincé, on a en général clairement un creux au milieu, mais là j’enfonce évidemment une porte ouverte…
Je souscris pleinement à l’idée du « pas de règle » mais des oreilles et des essais !!
En plus de tous les bons conseils déjà donnés, et si la pièce n’est pas complément symétrique le pincement peut-être différent entre la gauche et la droite. J’ai connu ce cas de figure avec les Signature.
Autre apprentissage qui pourrait être utile:
Si vous êtes contraints de limiter l’écartement avec mur du fond, le pincement permet parfois de limiter les effets de résonance (évent arrière face au mur du fond) sans avoir nécessairement recours à des panneaux de traitement passif qui n’ont pas toujours leur place dans l’esthétique des pièces de vie.
Pour information, nous sommes allés (avec succès) jusqu’à incliner les enceintes de quelques petits grès dans l’axe vertical cette fois (en jouant sur la vis du point d’appui central).
Pour finir, quand on n’est pas loin de l’isocèle, pour trouver le bon pincement, à titre perso, j’écoute les 3 dimensions de scène sonore (surtout largeur et profondeur mais aussi, certes moindrement la hauteur) et la largeur du sweet spot. Trop pincer peut par exemple engendrer la matérialisation d’une sorte de bulle sonore centrale hypertrophiée avec même dans mon observation (donc sans aucune robustesse « scientifique »), parfois un décalage entre le niveau d’amortissement de la salle perçu au sweet spot et 5cm à droite ou à gauche.
À l’inverse quand on n’est pas assez pincé, on a en général clairement un creux au milieu, mais là j’enfonce évidemment une porte ouverte…
Nagra HD Préamp, blocs mono Westminster Lab REI bridgés, Peleon Signature ;
Démat: switch & Clock SotM, lecteur Xact, Lampizator Horizon.
Phono: Yuki Seimitsu AP01, Etsuro Gold, Phasemation EA2000
Optimisation: Stromtank S1000, PSI Avaa C214 ; Entreq Silver Tellus Infinity II ; plateforme Seismion ; Nordost QB8 mk2 ; meuble Woodlink
Démat: switch & Clock SotM, lecteur Xact, Lampizator Horizon.
Phono: Yuki Seimitsu AP01, Etsuro Gold, Phasemation EA2000
Optimisation: Stromtank S1000, PSI Avaa C214 ; Entreq Silver Tellus Infinity II ; plateforme Seismion ; Nordost QB8 mk2 ; meuble Woodlink