11-07-2024, 12:36 AM
(Modification du message : 11-07-2024, 12:42 AM par orfeo_monteverdi.
Raison de la modification: clarification
)
Juste pour lever toute ambiguïté:
Il n'y a, de ma part, pas une once de critique envers les exposants: ils doivent se débrouiller avec la pièce existante, telle qu'elle est. (Et parfois, il ne leur reste même plus de place pour emporter du traitement acoustique, outre le matériel.)
Quand on voit cette pièce, il faut aimer les défis pour oser la louer dans le cadre d'un salon, et s'escrimer à essayer d'en tirer autre chose qu'une catastrophe. Si, avec une enceinte aussi "ambitieuse" qu'une Aria 3, ils ont réalisé dans ce cagibi une écoute ne fût-ce que "correcte", c'est déjà un exploit.
(Quant à la disposition des HP, les exposants ont visiblement opté pour une disposition "Ishiwata", du nom de feu Ken Ishiwata, qui appréciait cette disposition très croisée, pour les salons entre autres. Elle permet d'élargir le "sweet spot" en rendant le système moins directif: un auditeur assis en face du HP de G est pile dans l'axe du HP de droite, qui lui donne proportionnellement "autant" de niveau que le HP de G, pourtant plus proche, mais aussi plus incliné pour lui. Résultat: pour cet auditeur assis à G, un chanteur centré basculera moins sur la G, voire restera presque centré. L'inverse, en miroir, est vrai pour l'autre canal.
Ce truc astucieux joue sur le niveau, mais ruine évidemment la phase; pas de miracle: la stéréo, c'est mono-place.
Ici, vu l'exiguïté du local, jouer avec des axes beaucoup moins croisés aurait certainement généré des réflexions d'un niveau ingérable provenant des murs latéraux de ce cagibi, désespérément trop proches des enceintes. Donc faire "loucher" les enceintes, c'est visuellement incongru, mais acoustiquement ils n'avaient sans doute pas le choix).
Il n'y a, de ma part, pas une once de critique envers les exposants: ils doivent se débrouiller avec la pièce existante, telle qu'elle est. (Et parfois, il ne leur reste même plus de place pour emporter du traitement acoustique, outre le matériel.)
Quand on voit cette pièce, il faut aimer les défis pour oser la louer dans le cadre d'un salon, et s'escrimer à essayer d'en tirer autre chose qu'une catastrophe. Si, avec une enceinte aussi "ambitieuse" qu'une Aria 3, ils ont réalisé dans ce cagibi une écoute ne fût-ce que "correcte", c'est déjà un exploit.
(Quant à la disposition des HP, les exposants ont visiblement opté pour une disposition "Ishiwata", du nom de feu Ken Ishiwata, qui appréciait cette disposition très croisée, pour les salons entre autres. Elle permet d'élargir le "sweet spot" en rendant le système moins directif: un auditeur assis en face du HP de G est pile dans l'axe du HP de droite, qui lui donne proportionnellement "autant" de niveau que le HP de G, pourtant plus proche, mais aussi plus incliné pour lui. Résultat: pour cet auditeur assis à G, un chanteur centré basculera moins sur la G, voire restera presque centré. L'inverse, en miroir, est vrai pour l'autre canal.
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Ici, vu l'exiguïté du local, jouer avec des axes beaucoup moins croisés aurait certainement généré des réflexions d'un niveau ingérable provenant des murs latéraux de ce cagibi, désespérément trop proches des enceintes. Donc faire "loucher" les enceintes, c'est visuellement incongru, mais acoustiquement ils n'avaient sans doute pas le choix).
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