08-22-2024, 05:17 PM
Je me permets un petit interlude pseudo philosophique au petit déjeuner ( le travail de nuit… cerveau décalé, surement un peu embrouillé) 
Tout d’abord je partage tout ce qui se dit ces deux dernières pages, sauf peut être que ThierryNK a tord d’avoir confiance aveugle et sourde en moi, car à la fin nous avons tous un vécu différent et donc des critères affinés personnels de choix d’écoute différents, même si l’on peut atterrir sur une base commune qui peut nous plaire à tous quand même, mais hélas je dirais, une fois la base établie le diable se cache dans les détails, surtout nos diables intérieurs tres personnels, qu’ils soient psychiques, physiologiques…
Ensuite, techniquement, il me semble en effet qu’il n’y a pas grand chose qui ne soit pas modélisable en audio, en particulier au niveau enceintes et acoustique, amplification… mais la réalité est aussi qu’à part certains systemes actifs allant de la source aux hauts parleurs, qui s’arrêtent du coup avant la pièce même si cherchant à l’intégrer électroniquement en mode apte à tout, pas bon à tout, il y a très peu de travail global d’intégration du tout, et de toute façon ça ne plairait pas à tout le monde car cela reste une somme de compromis pour pouvoir aller un peu partout chez tout le monde, on est donc loin, très loin d’Airbus, même si on a fait des enceintes au top, des amplis au top, une source au top, une pièce au top (au top pour quelles enceintes, quelle directivité, quelle charge… impossible de faire universel… il n’y a pas de réunion pour optimiser le résultat de l’ensemble avec une étude sérieuse prenant tous les paramètres en compte, cela n’existe tout simplement pas en hifi. On peut toujours flinguer le résultat (et flinguer est un mot bien pesé) avec un simple cable hp ou de modulation, les impacts électriques le plus souvent non gérés correctement par les fabricants de la liaison réseau en démat, la longueur de sa pièce avec des modes, la liaison au sol des enceintes selon le type de sol…
Pire encore, le fichier audio lui même, qui est un contenant parfait mais d’un produit originel qui n’est pas numérique, c’est donc un vecteur de transfert sans perte, qui ne garantit pas à lui seul qu’en bout de chaine l’usage qu’on en fera au niveau électrique, temporel, psycho acoustique, soit de nature à être assez performant pour être fidèle, naturel. Personne ne sort la piste de son contenant numérique de la même façon, et la façon de le sortir, les éléments sur le trajet et leur mise en oeuvre, optimisation, ont un impact important, quasi vital, sur la crédibilité du résultat auprès du système oreille cerveau, qui est le seul but de tout cela. Un changement notable de filtre numérique / processing de piste avant conversion N/A suffit à nettement impacter le résultat et la pure realité du numérique c’est qu’il fait toujours appel à la capacité de notre cerveau à s’adapter au déficit de naturel final de la restitution.
Moralité, face à la vraie complexité globale d’un système hifi, qui n’est jamais gérée comme Airbus, il est impossible de perdre de vue que le but est, même en tendant vers une perfection technique qui ne peut qu’être partielle, de rendre le résultat cohérent, plausible, qu’il fasse le moins possible appel à nos facultés cérébrales de correction d’erreur, afin d’avoir un lacher prise. Et ça mes amis, ce n’est pas compris dans le forfait perfection technique de chaque appareil, et plus il sera pointu, révélateur, plus il montrera au cerveau de façon nette ce qui ne colle pas, le détail qui décrédibilise l’ensemble. C’est pour tout cela qu’on aime encore le vinyle bourré de défauts, les préamplis analogiques donnant du gain et évitant de trop entendre sa source numérique, mais ça on s’en fout… c’est surtout pour cela que chacun peut trouver sa restitution sonore cohérente et plausible dans une somme de compromis s’éloignant de la quête de perfection, visant plus simplement une réponse sensible, sensitive, axée sur des paramètres nous apparaissant plus important que d’autres, on priorise pour procurer une satisfaction parce que le cerveau y croit, parce que ça colle avec notre vécu, nos partages, notre attente purement vicérale et intellectuelle personnelle. Il n’y a donc aucun missile à tirer, aucune guerre à gagner, juste une quête de plaisir qui ne sera jamais modélisable.

Tout d’abord je partage tout ce qui se dit ces deux dernières pages, sauf peut être que ThierryNK a tord d’avoir confiance aveugle et sourde en moi, car à la fin nous avons tous un vécu différent et donc des critères affinés personnels de choix d’écoute différents, même si l’on peut atterrir sur une base commune qui peut nous plaire à tous quand même, mais hélas je dirais, une fois la base établie le diable se cache dans les détails, surtout nos diables intérieurs tres personnels, qu’ils soient psychiques, physiologiques…
Ensuite, techniquement, il me semble en effet qu’il n’y a pas grand chose qui ne soit pas modélisable en audio, en particulier au niveau enceintes et acoustique, amplification… mais la réalité est aussi qu’à part certains systemes actifs allant de la source aux hauts parleurs, qui s’arrêtent du coup avant la pièce même si cherchant à l’intégrer électroniquement en mode apte à tout, pas bon à tout, il y a très peu de travail global d’intégration du tout, et de toute façon ça ne plairait pas à tout le monde car cela reste une somme de compromis pour pouvoir aller un peu partout chez tout le monde, on est donc loin, très loin d’Airbus, même si on a fait des enceintes au top, des amplis au top, une source au top, une pièce au top (au top pour quelles enceintes, quelle directivité, quelle charge… impossible de faire universel… il n’y a pas de réunion pour optimiser le résultat de l’ensemble avec une étude sérieuse prenant tous les paramètres en compte, cela n’existe tout simplement pas en hifi. On peut toujours flinguer le résultat (et flinguer est un mot bien pesé) avec un simple cable hp ou de modulation, les impacts électriques le plus souvent non gérés correctement par les fabricants de la liaison réseau en démat, la longueur de sa pièce avec des modes, la liaison au sol des enceintes selon le type de sol…
Pire encore, le fichier audio lui même, qui est un contenant parfait mais d’un produit originel qui n’est pas numérique, c’est donc un vecteur de transfert sans perte, qui ne garantit pas à lui seul qu’en bout de chaine l’usage qu’on en fera au niveau électrique, temporel, psycho acoustique, soit de nature à être assez performant pour être fidèle, naturel. Personne ne sort la piste de son contenant numérique de la même façon, et la façon de le sortir, les éléments sur le trajet et leur mise en oeuvre, optimisation, ont un impact important, quasi vital, sur la crédibilité du résultat auprès du système oreille cerveau, qui est le seul but de tout cela. Un changement notable de filtre numérique / processing de piste avant conversion N/A suffit à nettement impacter le résultat et la pure realité du numérique c’est qu’il fait toujours appel à la capacité de notre cerveau à s’adapter au déficit de naturel final de la restitution.
Moralité, face à la vraie complexité globale d’un système hifi, qui n’est jamais gérée comme Airbus, il est impossible de perdre de vue que le but est, même en tendant vers une perfection technique qui ne peut qu’être partielle, de rendre le résultat cohérent, plausible, qu’il fasse le moins possible appel à nos facultés cérébrales de correction d’erreur, afin d’avoir un lacher prise. Et ça mes amis, ce n’est pas compris dans le forfait perfection technique de chaque appareil, et plus il sera pointu, révélateur, plus il montrera au cerveau de façon nette ce qui ne colle pas, le détail qui décrédibilise l’ensemble. C’est pour tout cela qu’on aime encore le vinyle bourré de défauts, les préamplis analogiques donnant du gain et évitant de trop entendre sa source numérique, mais ça on s’en fout… c’est surtout pour cela que chacun peut trouver sa restitution sonore cohérente et plausible dans une somme de compromis s’éloignant de la quête de perfection, visant plus simplement une réponse sensible, sensitive, axée sur des paramètres nous apparaissant plus important que d’autres, on priorise pour procurer une satisfaction parce que le cerveau y croit, parce que ça colle avec notre vécu, nos partages, notre attente purement vicérale et intellectuelle personnelle. Il n’y a donc aucun missile à tirer, aucune guerre à gagner, juste une quête de plaisir qui ne sera jamais modélisable.
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo