01-20-2017, 11:21 PM
(Modification du message : 01-20-2017, 11:34 PM par Musicalbox.)
Les caractères sont différents.
La gourmandise, l'envie de plaisir parce que la vie est courte, où tout simplement le fait d'aller au bout de ce qu'on fait, emmènent bien plus loin que viser le moins.
Dans le DIY il y a la rubrique bricolage, et ceux qui vont au bout du possible, avec une conception qui égale voire surpasse les matériels du commerce (car chez certaines marques il vaut mieux ne pas regarder à l'intérieur....).
Pas de jugement là dessus, chacun fait pour ce qui le satisfait, à tous point de vue.
Pour un ampli à tubes on a vite fait, en partie à cause du coût des transfos, d'arriver à une liste de courses entre 3 et 4000€, sans forcer.
Un ampli à transistors de même niveau peut revenir à cinq fois moins cher.
Il n'y a pas à juger du niveau où chacun met la barre pour le résultat, ni de l'envie d'aller au bout des choses ou de s'arrêter au minimum.
Les deux différences entre le DIY et en vivre sont
- l'impératif de stabilité du résultat
- et celui, pour fixer les prix, de ne rien oublier de compter dans les charges de structure et coûts de fonctionnement.
Le plaisir de découvrir est le même que l'on fasse pour soi ou pour les autres.
La différence est le partage, que ce que l'on fait rende des gens contents.
Il est vrai que la contrainte, l'obligation peuvent peser certains jours, lorsque la phase de création est passée et que la routine de fabrication prend le pas, mais ce qui motive est alors le retour humain, le fait d'apporter quelque chose à quelqu'un. Et ce toutes les semaines.
C'est une raison de se lever le matin.
Les tarifs au lieu de supposer vous avez le droit de demander comment ils sont calculés, c'est plus clair et cela évite les hypothèses.
En gros disons que tout dépend, outre le lieu de fabrication, du réseau de vente utilisé.
Pour un produit étant diffusé par un gros réseau de vente, il y a des intermédiaires.
Dans ce cas le coût de la matière première est à peu près équivalent à un dizieme du prix final.
Dans le cas d'un produit vendu en direct on descend donc considérablement. Le prix final de l'objet est à peu près divisé par trois.
Le DIY peut avoir différentes motivations : le pas cher, ou le meilleur possible.
Chacun voit midi à sa porte.
Pour répondre à Raphaël, oui, évidemment ce que tu fais est largement au dessus de bien des matériels du commerce.
Pour ceux qui ont jeté un œil à ma signature je n'aurais aucune chance d'avoir le résultat que donne mon système si j'avais été obligée d'acheter dans le commerce.
Le souci est comme le dit Raphaël qu'on se déphase au bout d'un moment, d'abord sur le résultat, on devient plus exigeant, ensuite sur le rapport prix/contenu/performance.
Il y a différents niveaux de DIY, de l'empilage de pièces qui est à la portée de tout le monde à un niveau de savoir faire que l'on peut appeler talent mais qui demande du travail. Et un certain don aussi.
Il y a des esprits brillants qui ne souhaitent pas se soumettre aux compromis de la commercialisation mais qui vont loin dans le résultat.
Il n'y a pas à juger ceux qui veulent se poser des défis, ni ceux qui veulent le meilleur possible, selon des critères précis.
Il n'y a pas à dire que peu ou moins suffit, cela c'est à chacun de décider où il veut emmener le résultat.
S'il n'y avait pas des gens pour aller creuser plus loin que les autres on serait dans la régression. Ou tout du moins dans la stagnation de l'ordinaire.
La gourmandise, l'envie de plaisir parce que la vie est courte, où tout simplement le fait d'aller au bout de ce qu'on fait, emmènent bien plus loin que viser le moins.
Dans le DIY il y a la rubrique bricolage, et ceux qui vont au bout du possible, avec une conception qui égale voire surpasse les matériels du commerce (car chez certaines marques il vaut mieux ne pas regarder à l'intérieur....).
Pas de jugement là dessus, chacun fait pour ce qui le satisfait, à tous point de vue.
Pour un ampli à tubes on a vite fait, en partie à cause du coût des transfos, d'arriver à une liste de courses entre 3 et 4000€, sans forcer.
Un ampli à transistors de même niveau peut revenir à cinq fois moins cher.
Il n'y a pas à juger du niveau où chacun met la barre pour le résultat, ni de l'envie d'aller au bout des choses ou de s'arrêter au minimum.
Les deux différences entre le DIY et en vivre sont
- l'impératif de stabilité du résultat
- et celui, pour fixer les prix, de ne rien oublier de compter dans les charges de structure et coûts de fonctionnement.
Le plaisir de découvrir est le même que l'on fasse pour soi ou pour les autres.
La différence est le partage, que ce que l'on fait rende des gens contents.
Il est vrai que la contrainte, l'obligation peuvent peser certains jours, lorsque la phase de création est passée et que la routine de fabrication prend le pas, mais ce qui motive est alors le retour humain, le fait d'apporter quelque chose à quelqu'un. Et ce toutes les semaines.
C'est une raison de se lever le matin.
Les tarifs au lieu de supposer vous avez le droit de demander comment ils sont calculés, c'est plus clair et cela évite les hypothèses.
En gros disons que tout dépend, outre le lieu de fabrication, du réseau de vente utilisé.
Pour un produit étant diffusé par un gros réseau de vente, il y a des intermédiaires.
Dans ce cas le coût de la matière première est à peu près équivalent à un dizieme du prix final.
Dans le cas d'un produit vendu en direct on descend donc considérablement. Le prix final de l'objet est à peu près divisé par trois.
Le DIY peut avoir différentes motivations : le pas cher, ou le meilleur possible.
Chacun voit midi à sa porte.
Pour répondre à Raphaël, oui, évidemment ce que tu fais est largement au dessus de bien des matériels du commerce.
Pour ceux qui ont jeté un œil à ma signature je n'aurais aucune chance d'avoir le résultat que donne mon système si j'avais été obligée d'acheter dans le commerce.
Le souci est comme le dit Raphaël qu'on se déphase au bout d'un moment, d'abord sur le résultat, on devient plus exigeant, ensuite sur le rapport prix/contenu/performance.
Il y a différents niveaux de DIY, de l'empilage de pièces qui est à la portée de tout le monde à un niveau de savoir faire que l'on peut appeler talent mais qui demande du travail. Et un certain don aussi.
Il y a des esprits brillants qui ne souhaitent pas se soumettre aux compromis de la commercialisation mais qui vont loin dans le résultat.
Il n'y a pas à juger ceux qui veulent se poser des défis, ni ceux qui veulent le meilleur possible, selon des critères précis.
Il n'y a pas à dire que peu ou moins suffit, cela c'est à chacun de décider où il veut emmener le résultat.
S'il n'y avait pas des gens pour aller creuser plus loin que les autres on serait dans la régression. Ou tout du moins dans la stagnation de l'ordinaire.