Bonjour les amis,
Sur la comparaison du LFD NCSE avec des amplis très haut de gamme, les choses sont plus complexes que de dire simplement qu’il « s’approche » des références hors de prix.
Tout dépend de ce que l’on cherche en allumant son système.
Personnellement je cherche à écouter de la musique.
Cela paraît idiot et enfantin de dire cela. Mais cela doit être rappelé.
J’ai reçu pas mal de gens chez moi pour des écoutes des Maurer ou autres, et je me suis aperçu qu’il y a bien 2 types d’auditeurs.
Ceux qui cherchent les émotions de la musique. Et ceux qui cherchent les émotions du « son ».
Et bien sûr entre les deux, tout un spectre avec ces 2 composantes en proportions plus ou moins pondérées.
Et ce sont deux démarches très différentes.
Une personne est venue écouter les Maurer il y a quelques semaines.
Elle n’a pas écouté un seul morceau en entier.
Elle streamait sur Tidal et changeait de morceau au bout de maximum 30 secondes.
J’avais devant moi quelqu’un venu pour écouter purement des sons et pas de la musique.
Il n’y a aucun jugement de valeur dans mon analyse. Chacun fait ce qu’il veut tant qu’il y trouve son bonheur.
Sur les critères audiophiles purs, sur le son proprement dit, l’Ongaku est supérieur au NCSE.
Il est aussi supérieur au NCSE la plupart du temps sur le critère musical également.
Néanmoins, sur certains disques, le NCSE me satisfait plus que l’Ongaku sur le seul critère qui m’intéresse : la musique.
Je n’écoute pas la profondeur du grave, la texture du medium et la finesse de l’aigu.
J’essaie de me plonger et de m’imprégner de la musique en tant qu’expérience sensorielle complète et quasi méditative.
Mon plaisir d’écoute est « déconnecté », il est indépendant des paramètres « audiophiles » chers à beaucoup.
Je n’analyse pas la musique.
J’essaie finalement de « l’entendre » au sens de l’entendement, de la compréhension du message qu’elle apporte et surtout pas d’écouter des sons.
Bien évidemment si les sons ne sont pas naturels, si il y a de la distorsion, alors on a une barrière franche à cet entendement.
Nombreux sont ceux qui diront que l’accès à la musique tel que je le définis ne va pas sans une certaine « perfection / pureté / naturel » des sons reproduits et je suis d’accord à 100 %.
(Et c’est pourquoi mes 2 systèmes utilisent les enceintes les plus pures et fidèles que je connaisse et qui soient dans mes moyens financiers et acceptables dans leur encombrement : les Jean Maurer 370F.)
Et bien, sur ce paramètre précis, mon plaisir d’écoute, le LFD est très proche de l’Ongaku et parfois il lui est même supérieur.
Et je pense que les personnes décrivant le NCSE comme un ampli aussi bon que des références hors de prix, voire meilleur, écoutent la musique de la même façon que moi.
Je pourrais n’avoir que le LFD et être heureux et l’Ongaku, aussi exceptionnel soit il, ne me manquerait pas.
Certes, le LFD NCSE n’a pas toutes les qualités audiophiles possibles. Mais il laisse complètement passer la musique.
Sur la comparaison du LFD NCSE avec des amplis très haut de gamme, les choses sont plus complexes que de dire simplement qu’il « s’approche » des références hors de prix.
Tout dépend de ce que l’on cherche en allumant son système.
Personnellement je cherche à écouter de la musique.
Cela paraît idiot et enfantin de dire cela. Mais cela doit être rappelé.
J’ai reçu pas mal de gens chez moi pour des écoutes des Maurer ou autres, et je me suis aperçu qu’il y a bien 2 types d’auditeurs.
Ceux qui cherchent les émotions de la musique. Et ceux qui cherchent les émotions du « son ».
Et bien sûr entre les deux, tout un spectre avec ces 2 composantes en proportions plus ou moins pondérées.
Et ce sont deux démarches très différentes.
Une personne est venue écouter les Maurer il y a quelques semaines.
Elle n’a pas écouté un seul morceau en entier.
Elle streamait sur Tidal et changeait de morceau au bout de maximum 30 secondes.
J’avais devant moi quelqu’un venu pour écouter purement des sons et pas de la musique.
Il n’y a aucun jugement de valeur dans mon analyse. Chacun fait ce qu’il veut tant qu’il y trouve son bonheur.
Sur les critères audiophiles purs, sur le son proprement dit, l’Ongaku est supérieur au NCSE.
Il est aussi supérieur au NCSE la plupart du temps sur le critère musical également.
Néanmoins, sur certains disques, le NCSE me satisfait plus que l’Ongaku sur le seul critère qui m’intéresse : la musique.
Je n’écoute pas la profondeur du grave, la texture du medium et la finesse de l’aigu.
J’essaie de me plonger et de m’imprégner de la musique en tant qu’expérience sensorielle complète et quasi méditative.
Mon plaisir d’écoute est « déconnecté », il est indépendant des paramètres « audiophiles » chers à beaucoup.
Je n’analyse pas la musique.
J’essaie finalement de « l’entendre » au sens de l’entendement, de la compréhension du message qu’elle apporte et surtout pas d’écouter des sons.
Bien évidemment si les sons ne sont pas naturels, si il y a de la distorsion, alors on a une barrière franche à cet entendement.
Nombreux sont ceux qui diront que l’accès à la musique tel que je le définis ne va pas sans une certaine « perfection / pureté / naturel » des sons reproduits et je suis d’accord à 100 %.
(Et c’est pourquoi mes 2 systèmes utilisent les enceintes les plus pures et fidèles que je connaisse et qui soient dans mes moyens financiers et acceptables dans leur encombrement : les Jean Maurer 370F.)
Et bien, sur ce paramètre précis, mon plaisir d’écoute, le LFD est très proche de l’Ongaku et parfois il lui est même supérieur.
Et je pense que les personnes décrivant le NCSE comme un ampli aussi bon que des références hors de prix, voire meilleur, écoutent la musique de la même façon que moi.
Je pourrais n’avoir que le LFD et être heureux et l’Ongaku, aussi exceptionnel soit il, ne me manquerait pas.
Certes, le LFD NCSE n’a pas toutes les qualités audiophiles possibles. Mais il laisse complètement passer la musique.