Bonjour
Je ne me suis pas permis de tirer des conclusions générales sur les échantillonnages. J'ai juste relaté une expérience sur des dizaines (peut-être centaines) de pistes, en faisant cela "proprement".
D'un point de vue subjectif
En partant d'un 24/X et en le downsamplant en 16/44, je n'ai jamais, pour le moment, sur mes systèmes passés et présents, été capable de faire la différence entre les 2.
Pour comparer, il est indispensable de procéder comme cela, sinon, on tombe le plus souvent sur des différences de Mix/Mastering entre les formats. Je me suis fait avoir, comme la majorité des gens pendant un bon moment...
D'un point de vue objectif
Il n'y a strictement aucun signal audible supplémentaire entre 0 et 22 Khz, entre un échantillonage à 44,1 Khz et un échantillonage à 192 Khz.
Pour les bits, en regardant le tableau ci-dessous, il faut un sacré système pour que les différences de tension des bits supplémentaires passent le DAC, l'ampli, les enceintes et la pièce. Ce n'est pas le cas chez moi.
![[Image: 28517849332_aa462d9c76_b.jpg]](https://c5.staticflickr.com/9/8745/28517849332_aa462d9c76_b.jpg)
Alors, à titre personnel, j'achète des albums en 24/X et en DSD quand c'est le format de prise de son, parce que le Mix/Mastering est le plus souvent meilleur que ce qui est produit en 16/44 avec un autre Mix/Mastering, (même si cela a évolué, je ne vais pas passer ma vie à comparer des 24/X donwsamplés aux 16/44 vendus...)
Enfin, je n'ai moi non plus pas compris pourquoi la démat pouvait être simple si on n'avait pas de problème acoustique.
Si on a des problèmes acoustiques, la démat donne une chance de s'en sortir avec des solutions pas trop onéreuses, alors qu'en CD ou en Vinyle, il faut mettre un processeur, genre Trinnov ST2H, au milieu de la chaine.
Autrement dit, ce qui serait compliqué en démat, c'est de résoudre un problème que la non-démat rend encore plus complexe à résoudre
Aucun soucis pour que certains préfèrent le rituel du CD ou du Vinyle. J'ai même racheté une platine Vinyle, et c'est fun et madeleine.
Mais dire que c'est compliqué, quand on n'a jamais essayé par soi-même, et qu'après avoir dépensé entre 40 et 200 K€ dans son matériel et/ou sa pièce, on n'est pas en mesure de payer qq centaines d'euros pour avoir une installation démat clé en mains, cela me laisse un peu dubitatif sur la vision de "complexité" de la démat, surtout pour les installations comme celle de Tonton F qui apparait non seulement complexe mais une véritable usine à gaz en HC. J'ai écrit "apparait" usine à gaz...
Ce qui est technologiquement totalement aberrant aujourd'hui, c'est de lire un fichier avec un laser et un système opto-mécanique asservi. Si l'on ne veut pas se casser la tête avec les protocoles et les câbles numériques, on va vers un lecteur réseau qui intègre un DAC, c'est exactement le même schéma de fonctionnement qu'une platine CD, liaison interne I2S comprise, où on a juste remplacé le maillon obsolète de lecture mécanique par une lecture "informatique" sans faille.
Amitiés
Je ne me suis pas permis de tirer des conclusions générales sur les échantillonnages. J'ai juste relaté une expérience sur des dizaines (peut-être centaines) de pistes, en faisant cela "proprement".
D'un point de vue subjectif
En partant d'un 24/X et en le downsamplant en 16/44, je n'ai jamais, pour le moment, sur mes systèmes passés et présents, été capable de faire la différence entre les 2.
Pour comparer, il est indispensable de procéder comme cela, sinon, on tombe le plus souvent sur des différences de Mix/Mastering entre les formats. Je me suis fait avoir, comme la majorité des gens pendant un bon moment...
D'un point de vue objectif
Il n'y a strictement aucun signal audible supplémentaire entre 0 et 22 Khz, entre un échantillonage à 44,1 Khz et un échantillonage à 192 Khz.
Pour les bits, en regardant le tableau ci-dessous, il faut un sacré système pour que les différences de tension des bits supplémentaires passent le DAC, l'ampli, les enceintes et la pièce. Ce n'est pas le cas chez moi.
![[Image: 28517849332_aa462d9c76_b.jpg]](https://c5.staticflickr.com/9/8745/28517849332_aa462d9c76_b.jpg)
Alors, à titre personnel, j'achète des albums en 24/X et en DSD quand c'est le format de prise de son, parce que le Mix/Mastering est le plus souvent meilleur que ce qui est produit en 16/44 avec un autre Mix/Mastering, (même si cela a évolué, je ne vais pas passer ma vie à comparer des 24/X donwsamplés aux 16/44 vendus...)
Enfin, je n'ai moi non plus pas compris pourquoi la démat pouvait être simple si on n'avait pas de problème acoustique.
Si on a des problèmes acoustiques, la démat donne une chance de s'en sortir avec des solutions pas trop onéreuses, alors qu'en CD ou en Vinyle, il faut mettre un processeur, genre Trinnov ST2H, au milieu de la chaine.
Autrement dit, ce qui serait compliqué en démat, c'est de résoudre un problème que la non-démat rend encore plus complexe à résoudre

Aucun soucis pour que certains préfèrent le rituel du CD ou du Vinyle. J'ai même racheté une platine Vinyle, et c'est fun et madeleine.
Mais dire que c'est compliqué, quand on n'a jamais essayé par soi-même, et qu'après avoir dépensé entre 40 et 200 K€ dans son matériel et/ou sa pièce, on n'est pas en mesure de payer qq centaines d'euros pour avoir une installation démat clé en mains, cela me laisse un peu dubitatif sur la vision de "complexité" de la démat, surtout pour les installations comme celle de Tonton F qui apparait non seulement complexe mais une véritable usine à gaz en HC. J'ai écrit "apparait" usine à gaz...
Ce qui est technologiquement totalement aberrant aujourd'hui, c'est de lire un fichier avec un laser et un système opto-mécanique asservi. Si l'on ne veut pas se casser la tête avec les protocoles et les câbles numériques, on va vers un lecteur réseau qui intègre un DAC, c'est exactement le même schéma de fonctionnement qu'une platine CD, liaison interne I2S comprise, où on a juste remplacé le maillon obsolète de lecture mécanique par une lecture "informatique" sans faille.
Amitiés