La précision et la fidélité des amplis Devialet à reproduire le message reçu de la source (Fichier ou autre)se révèle (le plus souvent) un atout incroyable. En revanche cette fidélité au message (le terme monitoring a été employé, cependant il est connoté) rend in fine l'auditeur dépendant de la prise de son et du travail de mastering ultérieur.
Par analogie, je me souviens d'une écoute surprenante sur un système audiophile ultra qui descendait fidèlement à 7 Hz !. Un atout dans l'absolu, mais qui pénalisait l'écoute lorsque l'enregistrement avait été boosté sur les basses.
Les amplis Devialet (et particulièrement les Dual) révèlent à présent encore plus les scènes sonores, les plans... et par conséquent, selon les enregistrements, les algorithmes employés pour positionner, parfois de façon excessive et spectaculaire, les instruments dans l'espace.
On en comprend aisément la possible raison, c'est ici aussi pour paraître plus sympa sur un auto-radio, un casque etc, mais pour une écoute attentive ou mélomane, la proposition sur les enregistrements 'excessifs' sera surnaturelle, hors de nos expériences de concert.
Tout décor a son envers. Personnellement je préfère disposer du défaut de ces exceptionnelles capacités de spatialisation, car rien ne m'empêche de trier les albums et de sélectionner une interprétation plutôt qu'une autre. Après tout je n'ai pas l'illusion de trouver un système qui me fera tout aimer...
Joke
Cet été, lors d'une petite interprétation privée j'étais à 3 mètres du pianiste de Pavarotti.
Mince, déçu, cela sonnait moins bien que sur ma chaîne

et c'était avant le D1000, je vous dis pas le manchot...
Bon... en fait c'était un moment génial
Par analogie, je me souviens d'une écoute surprenante sur un système audiophile ultra qui descendait fidèlement à 7 Hz !. Un atout dans l'absolu, mais qui pénalisait l'écoute lorsque l'enregistrement avait été boosté sur les basses.
Les amplis Devialet (et particulièrement les Dual) révèlent à présent encore plus les scènes sonores, les plans... et par conséquent, selon les enregistrements, les algorithmes employés pour positionner, parfois de façon excessive et spectaculaire, les instruments dans l'espace.
On en comprend aisément la possible raison, c'est ici aussi pour paraître plus sympa sur un auto-radio, un casque etc, mais pour une écoute attentive ou mélomane, la proposition sur les enregistrements 'excessifs' sera surnaturelle, hors de nos expériences de concert.
Tout décor a son envers. Personnellement je préfère disposer du défaut de ces exceptionnelles capacités de spatialisation, car rien ne m'empêche de trier les albums et de sélectionner une interprétation plutôt qu'une autre. Après tout je n'ai pas l'illusion de trouver un système qui me fera tout aimer...

Joke
Cet été, lors d'une petite interprétation privée j'étais à 3 mètres du pianiste de Pavarotti.
Mince, déçu, cela sonnait moins bien que sur ma chaîne


et c'était avant le D1000, je vous dis pas le manchot...
Bon... en fait c'était un moment génial
TotalDAC D1 Server, Devialet D1000, Klinger Favre S30, Etalon isolator, Rack of Silence, câbles HP Esprit Lumina, AES/EBU Bibacord, ligne dédiée