Double écoute du Player V5 signature cette semaine, une fois chez moi, une fois chez Jalucine. Belle gestion du numérique avec un jitter au plus bas, et cela s’entend avec un grave ferme et modulé, un haut du spectre expressif, propre et fluide, une grande lisibilité, netteté et variété dans les timbres. Bon comportement en direct sur mes blocs Luxman M800, en stéréo ou en mono bridgés.
Une écoute assez différente du Tambaqui, avec d’un coté des puces AKM, de l’autre la conversion propriétaire Mola Mola avec sortie en PWM. Intrinsèquement, constaté en usage direct sur un blocs Luxman M800, le Tambaqui propose moins de profondeur et une restitution un peu plus descendante et pastel (à rapprocher un peu de la restitution d’un ampli classe D Purify par exemple) , là où le 3dlab est un peu plus vivant, net et tendu et sur l’ensemble du spectre avec un étagement en profondeur plus marqué. Cela laisse un peu plus de place au fond sonore, alors que le Tambaqui joue un peu plus sur la nuance, incarnation dans le medium.
En mode transport AES ou Spdif, pas un écart fulgurant avec le Lumin U1mini et son alim Paul Hynes sr4t, un petit gain en précision / netteté avec le 3dlab je pense, pour tous les deux un usage avec le leedh processing. Je pense un signe là aussi d’une belle maîtrise du timing à la source, jitter.
Sympathique ce player 3DLab. Au chapitre des défauts quand méme:
- la finition toujours moyenne des boitiers avec une non insertion des connecteurs à l’arrière de l’appareil dans le panneau en alu, résultat une fibre optique équipée d’un connecteur un peu plus gros que le bas de gamme ne rentre pas se retrouvant bloqué contre l’alu. Le connecteur DC d’alim externe un basique 5.5/2.1mm lui aussi en retrait de la façade en alu.
- approchez un téléphone mobile du Player et vous entendez les bzz bzz du réseau dans votre système, même constat avec une borne wifi équipée d’un cable dc faisant un peu antenne proche du 3dlab: gros impact sonore dans le système. Bref une certaines sensibilités aux EMI/RFI selon les accessoires à proximité.
- incompatibilité de la carte réseau avec mon Switch Waversa, va comprendre…. c’est inédit dans mes essais.
- alim externe chinoise de base à découpage, à priori ne nuit pas au résultat sonore vu la qualité du filtrage et régulation interne, mais reste à mesurer l’impact d’une alim externe différente par curiosité.
Une écoute assez différente du Tambaqui, avec d’un coté des puces AKM, de l’autre la conversion propriétaire Mola Mola avec sortie en PWM. Intrinsèquement, constaté en usage direct sur un blocs Luxman M800, le Tambaqui propose moins de profondeur et une restitution un peu plus descendante et pastel (à rapprocher un peu de la restitution d’un ampli classe D Purify par exemple) , là où le 3dlab est un peu plus vivant, net et tendu et sur l’ensemble du spectre avec un étagement en profondeur plus marqué. Cela laisse un peu plus de place au fond sonore, alors que le Tambaqui joue un peu plus sur la nuance, incarnation dans le medium.
En mode transport AES ou Spdif, pas un écart fulgurant avec le Lumin U1mini et son alim Paul Hynes sr4t, un petit gain en précision / netteté avec le 3dlab je pense, pour tous les deux un usage avec le leedh processing. Je pense un signe là aussi d’une belle maîtrise du timing à la source, jitter.
Sympathique ce player 3DLab. Au chapitre des défauts quand méme:
- la finition toujours moyenne des boitiers avec une non insertion des connecteurs à l’arrière de l’appareil dans le panneau en alu, résultat une fibre optique équipée d’un connecteur un peu plus gros que le bas de gamme ne rentre pas se retrouvant bloqué contre l’alu. Le connecteur DC d’alim externe un basique 5.5/2.1mm lui aussi en retrait de la façade en alu.
- approchez un téléphone mobile du Player et vous entendez les bzz bzz du réseau dans votre système, même constat avec une borne wifi équipée d’un cable dc faisant un peu antenne proche du 3dlab: gros impact sonore dans le système. Bref une certaines sensibilités aux EMI/RFI selon les accessoires à proximité.
- incompatibilité de la carte réseau avec mon Switch Waversa, va comprendre…. c’est inédit dans mes essais.
- alim externe chinoise de base à découpage, à priori ne nuit pas au résultat sonore vu la qualité du filtrage et régulation interne, mais reste à mesurer l’impact d’une alim externe différente par curiosité.
La hifi est femme. Imparfaite par nature, on la choisit pour ce qu'elle a, pas pour ce qu'elle dit avoir. Mais si on voit ses défauts avant ses qualités, on est pas fait pour en avoir une, mieux vaut se soulager sous la douche, en écoutant la radio.
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo
Ventes à venir ou en cours (MP si intéressé pour en discuter): Leedh E2 Glass + caisson 20.1, Coincident Statement Linestage, blocs mono Coincident SE845 Turbo