Vous allez croire que je fais une fixation, mais un petit coup de LatencyMon permet de sérier les marges d'amélioration.
@Olivier, comme tu l'as écrit, ça permet d'objectiver l'utilisation de HPET (qui n'a plus vraiment d'intérêt sur les PC récents).
La charge CPU est un indicateur. Quand elle est faible, on peut se dire que les process ne sont pas gourmands et que la qualité va avec...
Pas forcément, tout est affaire d'interaction entre ces process et un mauvais codage ou un driver défaillant, c'est la cata.
A l'inverse, un système bien carré, on peut faire monter une utilisation CPU sur un seul process, c'est le cas d'HQP, sans dégradation.
Optimisation : on a déja parlé d'AO. On peut rajouter des scripts, modifications manuelles (base de registre) et quelques utilitaires.
Je me passe désormais de Fidelizer.
Pour affiner, il y a des pistes d'amélioration (priorités MSI à la place d'IRQ..) ou options des drivers réseau (et là Intel est généralement au top).
A titre d'exemple, mon PC fanless (ex-Patatorz) sous Win10 LTSC (core i5-8400 Gigabyte 370N), avec HQP et Roon en fonctionnement :
Installation brute Win10
Après 1ères optimisations, Bios + OS :
Aujourd'hui... je descends parfois en dessous de 0,40 mais c'est juste pour la recherche du chiffre.
L'essentiel était de réduire les interactions néfastes entre process pour pouvoir utiliser au maximum le hardware et upsampler en DSD 256 (modulateur HQP ASDM7EC) sans dépasser les 60°.
A noter qu'avec des gros multicoeurs, c'est plus confort pour les applis gourmandes.
Mais on voit que le core 0 est toujours plus (trop) sollicité.
D'où, les schémas clients/serveurs où le target, renderer ou streamer a juste comme tâche de livrer un flux sans dégradation et une sollicitation minime du hardware.
Pour HQP, au final l'Allo USBridge gère le NAA avec un process mini : moins de 10% d'un des 4 coeurs d'un compute RPI3+
@Olivier, comme tu l'as écrit, ça permet d'objectiver l'utilisation de HPET (qui n'a plus vraiment d'intérêt sur les PC récents).
La charge CPU est un indicateur. Quand elle est faible, on peut se dire que les process ne sont pas gourmands et que la qualité va avec...
Pas forcément, tout est affaire d'interaction entre ces process et un mauvais codage ou un driver défaillant, c'est la cata.
A l'inverse, un système bien carré, on peut faire monter une utilisation CPU sur un seul process, c'est le cas d'HQP, sans dégradation.
Optimisation : on a déja parlé d'AO. On peut rajouter des scripts, modifications manuelles (base de registre) et quelques utilitaires.
Je me passe désormais de Fidelizer.
Pour affiner, il y a des pistes d'amélioration (priorités MSI à la place d'IRQ..) ou options des drivers réseau (et là Intel est généralement au top).
A titre d'exemple, mon PC fanless (ex-Patatorz) sous Win10 LTSC (core i5-8400 Gigabyte 370N), avec HQP et Roon en fonctionnement :
Installation brute Win10
Code :
Average measured interrupt to DPC latency (µs): 22,371433
Après 1ères optimisations, Bios + OS :
Code :
Average measured interrupt to DPC latency (µs): 0,462635
Aujourd'hui... je descends parfois en dessous de 0,40 mais c'est juste pour la recherche du chiffre.
L'essentiel était de réduire les interactions néfastes entre process pour pouvoir utiliser au maximum le hardware et upsampler en DSD 256 (modulateur HQP ASDM7EC) sans dépasser les 60°.
A noter qu'avec des gros multicoeurs, c'est plus confort pour les applis gourmandes.
Mais on voit que le core 0 est toujours plus (trop) sollicité.
D'où, les schémas clients/serveurs où le target, renderer ou streamer a juste comme tâche de livrer un flux sans dégradation et une sollicitation minime du hardware.
Pour HQP, au final l'Allo USBridge gère le NAA avec un process mini : moins de 10% d'un des 4 coeurs d'un compute RPI3+

! Mon installation !
ROON + HQP / Hdplex H3-i5 > DST-00 Diretta > HOLO Spring 3 > SQM > Benchmark AHB2 / Wilson Benesch Square5
ROON + HQP / Hdplex H3-i5 > DST-00 Diretta > HOLO Spring 3 > SQM > Benchmark AHB2 / Wilson Benesch Square5