04-26-2016, 01:05 PM
"Conditions pour un débat": il suffit,je crois, d'accepter que les autres participants ne soient pas de son avis, et d'exprimer ses arguments sans chercher absolument à gagner, je veux dire à "avoir raison".(enfin c'est mon point de vue)
Un orchestre de chambre, un quatuor de Haydn,peut s'écouter dans un local réverbérant, l'écoute sera de toute évidence plus précise si on est près; un correcteur ne sera pas indispensable malgré la présence de réverbérations.. Idem pour écouter un piano à la salle Pleyel ou ailleurs..etc..
Selon mon approche personnelle, il me parait indispensable de recevoir aux oreilles le message musical sans qu'il soit brouillé par les reflexions primaires qui, par définition et étant donné les distances en jeu(distance au sol etc..), arrivent dans les 15 premières millisecondes(15ms représente une surlongueur de parcours du son de 15X0,34=plus de 5mètres, tu peux difficilement prétendre le contraire..) . J'agis donc pour les supprimer ou les minimiser, et le résultat est reflété par l'impulsion donnée si avant.Ce résultat est pour moi impeccable puisque la courbe d'impulsion montre qu'il n'y en a pratiquement pas, aucune!.Celà veut dire que pendant 15ms(au minimum, en réalité davantage) je recois exactement le message musical.Non modifié par un correcteur, et non pollué par des réflections primaires.
Les courbes relevées montre que je recois ce message avec une amplitude raisonnablement linéaire et une phase linéaire aussi, la mesure étant pourtant effectuée au 1/12° d'octave.
Les courbes de distorsion H relevées confirment des niveaux très bas, du fait qu'écoutant s'assez près,le niveau à mes oreilles ne nécessitent pas de fort niveau des hp's, ce qui évite -aussi- d'exciter la pièce.
Quant aux réverbérations,ma pièce est traitée "raisonnablement", et elles ne me dérangent pas plus que si j'écoute un quatuor de Haydn "en chambre", ou un pianiste à Pleyel, elles sont au contraire très acceptables et n'en rajoutent pas trop au message originel. Corriger la reverb est pour moi l'affaire du traitement plutot pragmatique, et pas d'un correcteur, comme quand on est malade il vaut mieux traiter la maladie que s'attaquer seulement aux symptomes avec de l'aspirine.
Voici donc mes arguments! j'accepte que tu ne sois pas d'accord! parfaitement! mais tu auras du mal a me faire changer d'opinion,car tout ceci reflète une démarche que je crois logique, et qui ne date pas d'hier!!
Mais avant tout, ce qui compte c'est d'être heureux, et si tu l'es, c'est le principal
Moi aussi, le résultat que j'obtiens me parait vraiment très bien,si je ne me trompe po!! Cordialement.
Un orchestre de chambre, un quatuor de Haydn,peut s'écouter dans un local réverbérant, l'écoute sera de toute évidence plus précise si on est près; un correcteur ne sera pas indispensable malgré la présence de réverbérations.. Idem pour écouter un piano à la salle Pleyel ou ailleurs..etc..
Selon mon approche personnelle, il me parait indispensable de recevoir aux oreilles le message musical sans qu'il soit brouillé par les reflexions primaires qui, par définition et étant donné les distances en jeu(distance au sol etc..), arrivent dans les 15 premières millisecondes(15ms représente une surlongueur de parcours du son de 15X0,34=plus de 5mètres, tu peux difficilement prétendre le contraire..) . J'agis donc pour les supprimer ou les minimiser, et le résultat est reflété par l'impulsion donnée si avant.Ce résultat est pour moi impeccable puisque la courbe d'impulsion montre qu'il n'y en a pratiquement pas, aucune!.Celà veut dire que pendant 15ms(au minimum, en réalité davantage) je recois exactement le message musical.Non modifié par un correcteur, et non pollué par des réflections primaires.
Les courbes relevées montre que je recois ce message avec une amplitude raisonnablement linéaire et une phase linéaire aussi, la mesure étant pourtant effectuée au 1/12° d'octave.
Les courbes de distorsion H relevées confirment des niveaux très bas, du fait qu'écoutant s'assez près,le niveau à mes oreilles ne nécessitent pas de fort niveau des hp's, ce qui évite -aussi- d'exciter la pièce.
Quant aux réverbérations,ma pièce est traitée "raisonnablement", et elles ne me dérangent pas plus que si j'écoute un quatuor de Haydn "en chambre", ou un pianiste à Pleyel, elles sont au contraire très acceptables et n'en rajoutent pas trop au message originel. Corriger la reverb est pour moi l'affaire du traitement plutot pragmatique, et pas d'un correcteur, comme quand on est malade il vaut mieux traiter la maladie que s'attaquer seulement aux symptomes avec de l'aspirine.
Voici donc mes arguments! j'accepte que tu ne sois pas d'accord! parfaitement! mais tu auras du mal a me faire changer d'opinion,car tout ceci reflète une démarche que je crois logique, et qui ne date pas d'hier!!
Mais avant tout, ce qui compte c'est d'être heureux, et si tu l'es, c'est le principal
Moi aussi, le résultat que j'obtiens me parait vraiment très bien,si je ne me trompe po!! Cordialement.