Une synthèse des comparaisons a été faite là : http://forum-hifi.fr/thread-43-post-1483.html#pid1483
Pour compléter, comme j'utilise des Devialet depuis 5 ans et que je les ai tous écoutés chez moi sauf le D400, je rappelle d'autres conclusions dispersées :
- Entre D1 et D240 puis D250 : pas de différences significatives. Elles restent moins marquées que les différences d'entrées, de câbles HPs, de mode secteur (filtres, régénérateurs).
- Entre D1-D250 et D200 : le D200 est plus facile à mettre en oeuvre, moins "pointu" au niveau de l'équilibre, mais les questions d'équilibre et de timbres sont forcément un problème de cohérence, d'optimisation, de réglage du système global. Et il ne faut pas compter sur un Devialet pour rattraper un système bancal ou une acoustique en carton. D'une manière générale, l'augmentation de puissance entre D120, D200, D250 se traduit par une augmentation du contrôle du grave et donne une impression de sécheresse relative car les enceintes "trainent" moins. Mais on retrouve toujours un très haut niveau de définition, de dynamique et de transparence.
- L'échelon suivant est l'utilisation en dual. Je parle du D800 car je n'ai pas pu comparer dans des conditions connues le D400. On ne peut pas dire que les critères habituels de jugement sont bouleversés (définition, dynamique), mais par contre, sur des critères moins faciles à caractériser et à décrire, il y a une différence assez évidente à l'écoute. Dans mon cas, avec des enceintes à haut rendement ou très haut rendement, on ne peut pas dire que cela a trait à la différence de puissance, car avec 8 watts sur chaque voie, je suis déjà à 105 db au point d'écoute avec les colonnes diy 24, et idem avec 62 milliwatts sur les pavillons, ce qui fait déjà dans les forté une écoute à niveau sonore élevé. Pour des comparaisons avec des enceintes à bas rendement, il faudra demander à leurs utilisateurs, les résultats peuvent être différents. Toujours est-il que si la puissance n'intervient guère dans mon usage des Devialet, le dual apporte quand même une liberté d'expression de tous les sons que n'ont pas au même niveau les "single". Le système s'efface davantage et donne plus de présence, plus de naturel, plus d'aisance et de plénitude à la musique. C'est difficile d'expliquer pourquoi car il est rare si la puissance n'intervient pas qu'un système plus complexe soit meilleur qu'un simple avec moins de connexions et de composants. On peut supposer que la mise en parallèle de plus d'amplis renforce le contrôle du grave et que le classe A est presque seul à être sollicité sur le reste. Mais ce ne sont que des supputations.
- L'Original d'atelier est l'échelon suivant. Comme dit Bear avec lequel je suis tout-à-fait d'accord, bien utilisés, les Devialet précédents donnent un son très détaillé, très dynamique, y compris en particulier sur la microdynamique, une très grande transparence. Dans un système bien réglé, la présence donnée à tout type d'instrument et à toute voix bien enregistrée est vraiment spectaculaire. À tel point que beaucoup de "commentateurs" auraient tendance à dire que c'est un peu trop. Cette "vérité" peut paraitre un peu "crue", et une dose de "velouté" pourrait être souhaitable. Le D900 offre cette quadrature du cercle d'un résultat à la fois impeccablement vrai et incroyablement beau. On ne peut pas dire que l'on entend plus de chose, mais il y a certainement un changement au niveau du spectre de la micro-dynamique qui joue sur l'équilibre des timbres.
Je ne touche plus à rien. J'espère que les nouveaux amplis apporteront ces qualités à l'ensemble de la gamme.
Pour compléter, comme j'utilise des Devialet depuis 5 ans et que je les ai tous écoutés chez moi sauf le D400, je rappelle d'autres conclusions dispersées :
- Entre D1 et D240 puis D250 : pas de différences significatives. Elles restent moins marquées que les différences d'entrées, de câbles HPs, de mode secteur (filtres, régénérateurs).
- Entre D1-D250 et D200 : le D200 est plus facile à mettre en oeuvre, moins "pointu" au niveau de l'équilibre, mais les questions d'équilibre et de timbres sont forcément un problème de cohérence, d'optimisation, de réglage du système global. Et il ne faut pas compter sur un Devialet pour rattraper un système bancal ou une acoustique en carton. D'une manière générale, l'augmentation de puissance entre D120, D200, D250 se traduit par une augmentation du contrôle du grave et donne une impression de sécheresse relative car les enceintes "trainent" moins. Mais on retrouve toujours un très haut niveau de définition, de dynamique et de transparence.
- L'échelon suivant est l'utilisation en dual. Je parle du D800 car je n'ai pas pu comparer dans des conditions connues le D400. On ne peut pas dire que les critères habituels de jugement sont bouleversés (définition, dynamique), mais par contre, sur des critères moins faciles à caractériser et à décrire, il y a une différence assez évidente à l'écoute. Dans mon cas, avec des enceintes à haut rendement ou très haut rendement, on ne peut pas dire que cela a trait à la différence de puissance, car avec 8 watts sur chaque voie, je suis déjà à 105 db au point d'écoute avec les colonnes diy 24, et idem avec 62 milliwatts sur les pavillons, ce qui fait déjà dans les forté une écoute à niveau sonore élevé. Pour des comparaisons avec des enceintes à bas rendement, il faudra demander à leurs utilisateurs, les résultats peuvent être différents. Toujours est-il que si la puissance n'intervient guère dans mon usage des Devialet, le dual apporte quand même une liberté d'expression de tous les sons que n'ont pas au même niveau les "single". Le système s'efface davantage et donne plus de présence, plus de naturel, plus d'aisance et de plénitude à la musique. C'est difficile d'expliquer pourquoi car il est rare si la puissance n'intervient pas qu'un système plus complexe soit meilleur qu'un simple avec moins de connexions et de composants. On peut supposer que la mise en parallèle de plus d'amplis renforce le contrôle du grave et que le classe A est presque seul à être sollicité sur le reste. Mais ce ne sont que des supputations.
- L'Original d'atelier est l'échelon suivant. Comme dit Bear avec lequel je suis tout-à-fait d'accord, bien utilisés, les Devialet précédents donnent un son très détaillé, très dynamique, y compris en particulier sur la microdynamique, une très grande transparence. Dans un système bien réglé, la présence donnée à tout type d'instrument et à toute voix bien enregistrée est vraiment spectaculaire. À tel point que beaucoup de "commentateurs" auraient tendance à dire que c'est un peu trop. Cette "vérité" peut paraitre un peu "crue", et une dose de "velouté" pourrait être souhaitable. Le D900 offre cette quadrature du cercle d'un résultat à la fois impeccablement vrai et incroyablement beau. On ne peut pas dire que l'on entend plus de chose, mais il y a certainement un changement au niveau du spectre de la micro-dynamique qui joue sur l'équilibre des timbres.
Je ne touche plus à rien. J'espère que les nouveaux amplis apporteront ces qualités à l'ensemble de la gamme.