Je pensais avoir bien résumé la chose (dixit Pascalounet )
Que rajouter de plus pour ta compréhension si ça n'est ce que tu viens d’écrire
Sinon que le vinyle est en effet homogène et régulier dans son contenu harmonique décroissant et donc naturel (legato respecté )
vs le numérique qui est perçu de manière plus "mécanique" "cadencé " avec ses harmoniques tronquées passées à la trappe Ce qui produit le plus souvent au final cette impression de froideur ,sécheresse pour peu que la phase ait été de surcroit maltraitée lors de la masterisation..ou du mixage des différentes pistes par des inges son peu scrupuleux de ces valeurs
( les disques CD passavant sont la pour étayer ce que j'avance ..Respect de la phase et pas ou peu de compression ,résultat ils sonnent comme un vinyle sans les inconvénients de ce media ...il faut juste un peu monter le son ..c'est a cela qu'on les reconnait leur niv de sortie est plus faible que d'ordinaire )
Ce qui me fait rager car démontre bien que ce n'est pas le support qui est à incriminer mais bien le sale boulot que font la majorité de labels
(sauf quelques exceptions de temps en temps qui font que les "audiophiles " les épingle au panthéon des réussites discographiques
C'est pour ces raisons également que les vrais amoureux du vinyle nous recherchons les OR ..Ceux d'avant cette époque ..ou la facilité à pris le pas sur le serieux dans la compétence et l'amour du travail bien fait des ingés ou preneurs de son de cette époque blenni
(Ruddy Van Gelder chez BLUE NOTE ou Georges Kisselhof chez CALLIOPE & SARASTRO ; .Bernard Neveux chez BNL Cabasse ;
P.MULLER chez Passavant ..Charlin ..chez lui même .. ect ect
Ce qui en fait hélas la rareté et donc le cout élevé
Que rajouter de plus pour ta compréhension si ça n'est ce que tu viens d’écrire
Sinon que le vinyle est en effet homogène et régulier dans son contenu harmonique décroissant et donc naturel (legato respecté )
vs le numérique qui est perçu de manière plus "mécanique" "cadencé " avec ses harmoniques tronquées passées à la trappe Ce qui produit le plus souvent au final cette impression de froideur ,sécheresse pour peu que la phase ait été de surcroit maltraitée lors de la masterisation..ou du mixage des différentes pistes par des inges son peu scrupuleux de ces valeurs
( les disques CD passavant sont la pour étayer ce que j'avance ..Respect de la phase et pas ou peu de compression ,résultat ils sonnent comme un vinyle sans les inconvénients de ce media ...il faut juste un peu monter le son ..c'est a cela qu'on les reconnait leur niv de sortie est plus faible que d'ordinaire )
Ce qui me fait rager car démontre bien que ce n'est pas le support qui est à incriminer mais bien le sale boulot que font la majorité de labels
(sauf quelques exceptions de temps en temps qui font que les "audiophiles " les épingle au panthéon des réussites discographiques
C'est pour ces raisons également que les vrais amoureux du vinyle nous recherchons les OR ..Ceux d'avant cette époque ..ou la facilité à pris le pas sur le serieux dans la compétence et l'amour du travail bien fait des ingés ou preneurs de son de cette époque blenni
(Ruddy Van Gelder chez BLUE NOTE ou Georges Kisselhof chez CALLIOPE & SARASTRO ; .Bernard Neveux chez BNL Cabasse ;
P.MULLER chez Passavant ..Charlin ..chez lui même .. ect ect
Ce qui en fait hélas la rareté et donc le cout élevé
Il m'arrive rarement d'admettre des choses sans les comprendre totalement ..
Mais cela m'arrive !
Mais cela m'arrive !