06-01-2022, 04:19 PM
(Modification du message : 06-01-2022, 04:44 PM par orfeo_monteverdi.
Raison de la modification: correction coquilles et lisibilité
)
Bonjour Papytechnofil,
Merci pour ton retour.
Mais je ne suis pas sûr de bien comprendre:
Je ne comprends pas ce qui est dit, désolé.
Gilles suggérait que je fasse de cette question un nouveau sujet; je vais m'y atteler dès que j'aurai le temps.
Je me charge d'y faire un topo le plus clair possible.
Un peu de patience :-)
Schématiquement:
ENCEINTE PASSIVE =
ENCEINTE ACTIVE (non-connectée) =
ENCEINTE ACTIVE ET CONNECTÉE =
(je n'ai aucune enceinte connectée, mais je suppose que ça doit furieusement ressembler à: )
D'où, AMHA, concernant les actives non-connectées, une nécessaire conception physiquement modulaire pour pouvoir apporter les évolutions aux modules électroniques (physiques), càd les remplacer (tournons pas autour du pot). Je constate que les géniaux Néérlandais de Grimm Audio ont parfaitement compris ça (hélas: prix très élevé; mais performances superlatives).
Quant aux actives connectées, le problème des (parfois petits) constructeurs d'électronique de consommation, c'est qu'ils doivent suivre les évolutions informatiques imposées par les monstres qui les impulsent (Microsoft, etc), parfois pour des raisions légitimes de sécurité, ou du fait des forces du marché ou de l'innovation rapide. Or, ces "petits" constructeurs (de hifi entre autres), ont-ils les fonds (ou la volonté marketing) pour pouvoir...suivre? D'où le commentaire amer d'un internaute, sur un autre forum, à propos de ce qu'il qualifiait de "hifi consommable".
REM: J'apprends aujourd'hui que l'UE rend désormais obligatoire pour le constructeur de publier des mises à jour (logicielles) pour la période de 2 ans de la garantie. Deux ans? On est "gras" avec ça... (ça vise bien sûr surtout les stupidophones).
Il est vrai pourtant que les produits connectés ont leurs avantages pratiques dans certains cas (encombrement, compacité obligatoire, etc). Libre à chacun de mettre le curseur où bon lui semble entre les avantages (ressentis comme plus ou moins "nécessaires"), et les risques évoqués.
(heu, au fait, ayant encore été trop long, n'aurait-on pas déjà les bases pour notre nouveau sujet? ;-)
Merci pour ton retour.
Mais je ne suis pas sûr de bien comprendre:
(06-01-2022, 06:17 AM)Papytechnofil a écrit : Pour répondre à Orfeo la non évolutivité n'est pas un vrai problème, c'est la non réparabilité [physique, je suppose; pas logicielle] par manque de disponibilité des composants [électroniques, je suppose] qui en est une!
Combien d'appareils au firmware évolutif n'ont pas eu de mise à jour après leur sortie? [tu parles maintenant de composants logiciels, je suppose: firmware, etc] Deux de mes Dacs ont leur soft d'origine et basta! Teac NT503 incapable d'intègrer Qobuz! L'appli n'a pas bougé et celle de Onkyo est utilisée à la place! Je ne parle pas bien sûr après arrêt de sa distribution!
Bryston BDA3 acheté en 2021 firmware de 2018, rien à corriger?
[expérience similaire chez une connaissance qui a racheté d'occasion un vieux streamer Logitech: après une mise à jour, une fonctionnalité était morte - on parle toujours bien ici de mises à jour logicielles]
Non, l'évolutivité n'est rien face à l'obsolescence des composants! [logiciels? Ce terme semblait avoit été utilisé plus haut pour les composants électroniques]
Je ne comprends pas ce qui est dit, désolé.
Gilles suggérait que je fasse de cette question un nouveau sujet; je vais m'y atteler dès que j'aurai le temps.
Je me charge d'y faire un topo le plus clair possible.
Un peu de patience :-)
Schématiquement:
ENCEINTE PASSIVE =
- caisse
- haut-parleurs
- filtre passif (composants électriques)
ENCEINTE ACTIVE (non-connectée) =
- caisse
- haut-parleurs
- filtre actif (composants électroniques entre autres)
- amplificateur, càd aujourd'hui le plus souvent: modules de classe D* embarqués (même si les amplificateurs peuvent être à l'extérieur d'une enceinte active)
*classe D = risque d'obsolescence un peu plus grand: les technologies de classe D (voire H, etc) évoluent plus vite. J'ai appris que la classe D est paraît-il assez ancienne (équipait déjà les auto-radios, qui dévelopaient jusqu'à 100w de puissance). Mais elle était au début qualitativement très médiocre. C'est une époque que je n'ai pas connue. Ce n'est que récemment que des progrès significatifs ont été faits en qualité, au point de voir désormais leur entrée dans le matériel hi-fi au sens noble du terme (j'ai un ampli de classe A + D pour une paire de Harbeth: ça marche très bien; malgré mes préjugés).
ENCEINTE ACTIVE ET CONNECTÉE =
(je n'ai aucune enceinte connectée, mais je suppose que ça doit furieusement ressembler à: )
- caisse
- haut-parleurs
- filtre actif (composants électroniques entre autres)
- amplificateur, càd aujourd'hui le plus souvent: modules de classe D //évoluent vite
- partie logicielle "communicante" =
- une puce (ou chip en anglais) //encore matériel, c'est vrai
- un système d'exploitation (ou operating system, OS) //souvent un noyau Linux
- une pile de protocoles réseau (de TCP/IP jusqu'à wifi & Bluetooth)
- une couche applicative: une app cliente pour Spotify, Deezer, etc (pilotée par un contrôleur tournant sur iOS ou Android, utilisé à partir d'une tablette ou smartphone).
Le tout (ces 4 éléments), tenant sur la puce (= Soc, ou System on a Chip); c'est ce qu'il y a dans les montres connectées, dans un Raspberry Pi (micro-ordinateur taille carte de crédit, etc)//cette partie logicielle évolue très vite. D'où un risque encore accru (p/r à une enceinte active non-connectée) d'obsolescence; ici, le risque est une perte (totale) de fonctionnalité (vs "moindre performance" seulement de modules de classe D dépassés s'il n'ont pu être remplacés par de plus performants - et l'inventeur des modules Hypex, nCore et Purifi, le Belge Bruno Putzeys, a admis lui-même dans une interview que ses modules Hypex antérieurs aux nCore avaient "du grain dans le medium" (sic))
- une puce (ou chip en anglais) //encore matériel, c'est vrai
D'où, AMHA, concernant les actives non-connectées, une nécessaire conception physiquement modulaire pour pouvoir apporter les évolutions aux modules électroniques (physiques), càd les remplacer (tournons pas autour du pot). Je constate que les géniaux Néérlandais de Grimm Audio ont parfaitement compris ça (hélas: prix très élevé; mais performances superlatives).
Quant aux actives connectées, le problème des (parfois petits) constructeurs d'électronique de consommation, c'est qu'ils doivent suivre les évolutions informatiques imposées par les monstres qui les impulsent (Microsoft, etc), parfois pour des raisions légitimes de sécurité, ou du fait des forces du marché ou de l'innovation rapide. Or, ces "petits" constructeurs (de hifi entre autres), ont-ils les fonds (ou la volonté marketing) pour pouvoir...suivre? D'où le commentaire amer d'un internaute, sur un autre forum, à propos de ce qu'il qualifiait de "hifi consommable".
REM: J'apprends aujourd'hui que l'UE rend désormais obligatoire pour le constructeur de publier des mises à jour (logicielles) pour la période de 2 ans de la garantie. Deux ans? On est "gras" avec ça... (ça vise bien sûr surtout les stupidophones).
Il est vrai pourtant que les produits connectés ont leurs avantages pratiques dans certains cas (encombrement, compacité obligatoire, etc). Libre à chacun de mettre le curseur où bon lui semble entre les avantages (ressentis comme plus ou moins "nécessaires"), et les risques évoqués.
(heu, au fait, ayant encore été trop long, n'aurait-on pas déjà les bases pour notre nouveau sujet? ;-)
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