De retour à la maison après une semaine de vacances, je suis tout à ma joie de retrouver ma platine chérie.
Alors pour fêter nos retrouvailles je débliste cette reissue Waxtime 2012 de Coleman Hawkins encounters Ben Webster (1959) qui contient quelques ballades fameuses :
https://tidal.com/album/93053225?u
http://open.qobuz.com/album/rpj2nex5wn67b
Et un petit extrait de ce que nous raconte Qobuz sur cet album :
16 octobre 1957, Coleman Hawkins (52 ans) et Ben Webster (48 ans) sont enfermés dans les mythiques studios Capitol d'Hollywood pour mettre en boîte, sous la houlette du producteur de chez Verve Norman Granz, un album devenu plus qu'un classique. Avec Lester Young, ces deux monstres du saxophone ténor sont alors considérés comme les intouchables de leur instrument. Ce que confirme cette session à laquelle participent aussi quatre autres épées: le pianiste Oscar Peterson, le guitariste Herb Ellis, le contrebassiste Ray Brown et le batteur Alvin Stoller. Le respect règne entre les deux souffleurs au bon gros son qui livrent une prestation chaude et souvent lyrique comme jamais. Dès le Blues for Yolande d'ouverture signé Hawk, ce ton classe et classique est donné. Aucun grain de sable ne vient perturber les rouages d'un tango parfait où chacun miaule avec génie, et fait passer le ténor par toutes les phases possibles. Et côté ballades, le sommet est aussi atteint avec It Never Entered My Mind et Prisoner of Love.
Publié deux ans plus tard en novembre 1959, Coleman Hawkins Encounters Ben Webster est un des piliers de toute discothèque idéale jazz digne de ce nom.
Alors pour fêter nos retrouvailles je débliste cette reissue Waxtime 2012 de Coleman Hawkins encounters Ben Webster (1959) qui contient quelques ballades fameuses :
https://tidal.com/album/93053225?u
http://open.qobuz.com/album/rpj2nex5wn67b
Et un petit extrait de ce que nous raconte Qobuz sur cet album :
16 octobre 1957, Coleman Hawkins (52 ans) et Ben Webster (48 ans) sont enfermés dans les mythiques studios Capitol d'Hollywood pour mettre en boîte, sous la houlette du producteur de chez Verve Norman Granz, un album devenu plus qu'un classique. Avec Lester Young, ces deux monstres du saxophone ténor sont alors considérés comme les intouchables de leur instrument. Ce que confirme cette session à laquelle participent aussi quatre autres épées: le pianiste Oscar Peterson, le guitariste Herb Ellis, le contrebassiste Ray Brown et le batteur Alvin Stoller. Le respect règne entre les deux souffleurs au bon gros son qui livrent une prestation chaude et souvent lyrique comme jamais. Dès le Blues for Yolande d'ouverture signé Hawk, ce ton classe et classique est donné. Aucun grain de sable ne vient perturber les rouages d'un tango parfait où chacun miaule avec génie, et fait passer le ténor par toutes les phases possibles. Et côté ballades, le sommet est aussi atteint avec It Never Entered My Mind et Prisoner of Love.
Publié deux ans plus tard en novembre 1959, Coleman Hawkins Encounters Ben Webster est un des piliers de toute discothèque idéale jazz digne de ce nom.
Analogique Linn Sondek Akurate LP12 et Parasound Halo JC3+
Numérique Moon Mind2, Nuprime CDT8 Pro et Audiomat Tempo 2.9
Amplification Rogue Audio RH5 et Moon 330A
Enceintes Harbeth Compact 7ES3
Casque HifiMan HE1000v2 avec RH5 ou Hugo 2
Numérique Moon Mind2, Nuprime CDT8 Pro et Audiomat Tempo 2.9
Amplification Rogue Audio RH5 et Moon 330A
Enceintes Harbeth Compact 7ES3
Casque HifiMan HE1000v2 avec RH5 ou Hugo 2