Bonjour,
Un petit retour suite à mes premiers essais du Holo Red que m'a prêté Nicolas (nico-macaron).
Sur le nouveau système de Nicolas et avec ses nouvelles enceintes actives ATC, il m'a semblé que le Holo Red apportait, en comparaison avec l'Emerson Digital, une maitrise des registres particulièrement remarquable, avec notamment des basses beaucoup plus tendues sans être effacées, qui cessaient du coup de masquer le reste du spectre dans une pièce de vie / d'écoute peu traitée. Je suis reparti, après cette écoute, très enthousiaste avec le Holo Red sous le bras...
Chez moi, la situation est un peu différente. Le bas du spectre est bien maitrisé par la mise en oeuvre de bass-traps actifs (PSI-Audio), ma source (NAA sous Linux Fedora 38, Target Lucia de Diretta) est alimentée par une alimentation très qualitative (Paul Hynes SR7MR4)... Le Holo Red avait donc du fil à retordre pour se distancier de ce ensemble.
J'ai écouté des fichiers upsamplés par PGGB-256, en 705.6 et 768 kHz, alimentés mais non traités par HQPlayer (pas de filtre, pas de noise shaper). J'ai comparé le Holo Red avec sa distribution Gentooplayer en mode NAA alimentant mon DAC Holo May L2 en USB avec mon propre NAA, puis j'ai remis en oeuvre Diretta, toujours en USB, et pour finir, j'ai testé la connexion du Holo May en I2S sur le Holo Red, avec et sans Diretta, avec et sans PLL.
Il ressort de mes tests une hiérarchie assez claire:
1. Holo Red en I2S avec Diretta
2. Holo Red en I2S sans Diretta
3. NAA sous Linux -> USB avec Diretta
4. NAA sous Linux -> USB sans Diretta
5. Holo Red en NAA -> USB
Diretta apporte, quelle que soit la configuration, un engagement très significativement meilleur, en augmentant en particulier le niveau vibratoire perçu de la musique. Le surcroit d'émotion apporté par Diretta est très perceptible, quel que soit le type de musique et le mode de restitution (I2S ou USB) de mon point de vue.
Il me semble que sur les fichiers upsamplés que j'ai utilisés, l'interface I2S offre un niveau d'ouverture, de respiration dans le haut du spectre, et également de recul du bruit de fond supérieur à l'USB.
L'alimentation Paul Hynes qui alimente NAA et Lucia chez moi étant de grande qualité, elle ne génère pas de bruit venant poluer l'USB, et le Holo Red n'a pas apporté grand chose en NAA simple dans ce contexte.
Enfin les petits craquements, comparables à des poussières sur un vinyl, et que l'on entend rarement en I2S sans la PLL, disparaissent complètement avec la mise en oeuvre de Diretta qui régule parfaitement le flux et évite les pertes de connexion à l'origine de ces craquements...
J'attends avec impatience un Lucia Shakerato de Diretta qui est annoncé pour la semaine prochaine. Je reviendrai vous parler de mes impressions en comparaison.
Je voudrais remercier chaleureusement:
- Nicolas qui m'a très aimablement prêté son appareil tout neuf
- Diretta, en la personne de Yu, qui m'a fourni une clé Diretta temporaire pour cette machine.
- Ludovic (Patatorz) qui a aiguisé ma curiosité en me parlant de ce Holo Red en mode I2S sous Diretta.
Un petit retour suite à mes premiers essais du Holo Red que m'a prêté Nicolas (nico-macaron).
Sur le nouveau système de Nicolas et avec ses nouvelles enceintes actives ATC, il m'a semblé que le Holo Red apportait, en comparaison avec l'Emerson Digital, une maitrise des registres particulièrement remarquable, avec notamment des basses beaucoup plus tendues sans être effacées, qui cessaient du coup de masquer le reste du spectre dans une pièce de vie / d'écoute peu traitée. Je suis reparti, après cette écoute, très enthousiaste avec le Holo Red sous le bras...
Chez moi, la situation est un peu différente. Le bas du spectre est bien maitrisé par la mise en oeuvre de bass-traps actifs (PSI-Audio), ma source (NAA sous Linux Fedora 38, Target Lucia de Diretta) est alimentée par une alimentation très qualitative (Paul Hynes SR7MR4)... Le Holo Red avait donc du fil à retordre pour se distancier de ce ensemble.
J'ai écouté des fichiers upsamplés par PGGB-256, en 705.6 et 768 kHz, alimentés mais non traités par HQPlayer (pas de filtre, pas de noise shaper). J'ai comparé le Holo Red avec sa distribution Gentooplayer en mode NAA alimentant mon DAC Holo May L2 en USB avec mon propre NAA, puis j'ai remis en oeuvre Diretta, toujours en USB, et pour finir, j'ai testé la connexion du Holo May en I2S sur le Holo Red, avec et sans Diretta, avec et sans PLL.
Il ressort de mes tests une hiérarchie assez claire:
1. Holo Red en I2S avec Diretta
2. Holo Red en I2S sans Diretta
3. NAA sous Linux -> USB avec Diretta
4. NAA sous Linux -> USB sans Diretta
5. Holo Red en NAA -> USB
Diretta apporte, quelle que soit la configuration, un engagement très significativement meilleur, en augmentant en particulier le niveau vibratoire perçu de la musique. Le surcroit d'émotion apporté par Diretta est très perceptible, quel que soit le type de musique et le mode de restitution (I2S ou USB) de mon point de vue.
Il me semble que sur les fichiers upsamplés que j'ai utilisés, l'interface I2S offre un niveau d'ouverture, de respiration dans le haut du spectre, et également de recul du bruit de fond supérieur à l'USB.
L'alimentation Paul Hynes qui alimente NAA et Lucia chez moi étant de grande qualité, elle ne génère pas de bruit venant poluer l'USB, et le Holo Red n'a pas apporté grand chose en NAA simple dans ce contexte.
Enfin les petits craquements, comparables à des poussières sur un vinyl, et que l'on entend rarement en I2S sans la PLL, disparaissent complètement avec la mise en oeuvre de Diretta qui régule parfaitement le flux et évite les pertes de connexion à l'origine de ces craquements...
J'attends avec impatience un Lucia Shakerato de Diretta qui est annoncé pour la semaine prochaine. Je reviendrai vous parler de mes impressions en comparaison.
Je voudrais remercier chaleureusement:
- Nicolas qui m'a très aimablement prêté son appareil tout neuf
- Diretta, en la personne de Yu, qui m'a fourni une clé Diretta temporaire pour cette machine.
- Ludovic (Patatorz) qui a aiguisé ma curiosité en me parlant de ce Holo Red en mode I2S sous Diretta.