Bonjour à tous,
Le petit test à l'aveugle du weekend
!
Comme certains le savent, j'ai le Nano Player Signature en test à la maison. J'ai donc pris ce dernier comme étalon pour évaluer le setup Diretta. J'avais constaté que sous Windows le match tournait en faveur du Nano, de peu mais suffisamment audible.
J'ai pris une licence AudioLinux et paramétré Diretta (avec les commandes partagées par Patatorz) . A la réception du lien et après téléchargement, j'ai "gravé" l'image sur une clé USB 32Go. Audiolinux démarre donc de la clé, pas de processus d'installation sur un disque dur. Ca laisse l'opportunité de se faire une machine sans aucun disque et ensuite de monter en RAM l'OS.
Au premier boot: j'ai un message m'informant de changer le choix du CPU, j'ai un AMD. C'est en Anglais, mais très simple à comprendre et à faire.
Après deux échanges rapide avec LeDom, j'arrive à faire fonctionner Diretta. Il ne s'agissait pas d'un problème hyper technique: sous Linux, Diretta a besoin de voir un DAC en USB pour monter la carte son. Sans carte son, pas de MPD et donc pas de UPNP. Mon cable USB était juste mal inséré dans le DAC. Une fois la carte son montée, on paramètre MPD: une interface web le permet de manière très "user friendly". Il faut renseigner : une carte son, un chemin de lecture (il en faut un même bidon), une taille de buffer (j'ai repris la valeur par défaut), et un pourcentage de chargement de la musique en RAM (j'ai repris la valeur par défaut, i.e 100%).
Je n'ai fait aucune optimisation, donc Audiolinux et Diretta sont en configuration par défaut.
Le Nano Player Signature est en AES et j'ai mis la gestion du volume en fixe (plus de Leedh Processing), le but étant de comparer la qualité la source et seulement celle ci. J'utilise l'alimentation stock du Nano. Au biais que les entrées SPDIF et AES de mon DAC (Musical Paradise MP2 MK3) sont bien meilleures que l'USB (pourtant optimisée à coup de d'horloge, etc..).
La gestion du volume se fera donc à partir du DAC. Je règle le volume et je n'y touche plus.
J'attrape un de mes fils et lui indique comment changer de source sur le DAC et sur l'appli MConnect (parce que très simple, peu être trop d'ailleurs). Je cache la façade du DAC, pour ne pas voir quelle source est utilisée.
3 albums sont utilisés :
mon dernier coup de coeur :
![[Image: n1gd1sspxq2ec_300.jpg]](https://static.qobuz.com/images/covers/ec/q2/n1gd1sspxq2ec_300.jpg)
https://www.qobuz.com/fr-fr/album/le-tem...d1sspxq2ec
Un album de Melody Cardot, intéressant pour capter l'ambiance du club :
![[Image: 0060252702738_300.jpg]](https://static.qobuz.com/images/covers/38/27/0060252702738_300.jpg)
https://www.qobuz.com/fr-fr/album/live-f...0252702738
Un album intimiste mais bourré de détails fins d'ambiance:
![[Image: jstpkpiqj6qtb_300.jpg]](https://static.qobuz.com/images/covers/tb/6q/jstpkpiqj6qtb_300.jpg)
https://www.qobuz.com/fr-fr/album/instru...pkpiqj6qtb
Pendant une bonne heure, ma progéniture opèrent les changements et note les sources... C'est long, une heure pour un ado !
Concernant, le résultat de cette petite expérience, je n'ai pas été fichu de distinguer les deux sources sur mon systèmes et sur ces albums. Que faut il en déduire ?
Le Nano Player Signature est un excellent streamer, pratiquement "Jitter free" (du moins mesuré sur I2S), bruit de phase ridicule. Mon setup Diretta s'appuie sur le Developpement Kit Lucia qui est alimenté (comme mon serveur) par une HDPlex 500W ATX (donc honorable mais pas à la pointe de ce qui se fait en terme d'alimentation). On peut donc aller plus loin, du coté Nano avec une bonne alimentation, comme du coté Diretta en traitant aussi ce point avec des éléments plus qualitatifs.
A ce stade, je suis bien em...dé !
Le Nano Player Signature excelle en lien direct avec un ampli de puissance. Toutes ses qualités s'expriment avec le lien direct au DAC et l'utilisation du Leedh Processing. Celui ci n'étant pas exempt de défauts non plus.
Je suis tout de même super surpris par la qualité et la simplicité de mise en oeuvre d'AudioLinux. Son seul défaut restant son site web, peu avenant et pouvant faire peur, alors que le travail de Piero le concepteur est remarquable. En partant d'une solution qui peut devenir un cauchemar pour un non initié à Linux, il est arrivé à en faire une solution très facile à mettre en oeuvre, y compris pour les autres solutions que Diretta. Nous devrions en parler un peu plus en DIY.
Le petit test à l'aveugle du weekend
!Comme certains le savent, j'ai le Nano Player Signature en test à la maison. J'ai donc pris ce dernier comme étalon pour évaluer le setup Diretta. J'avais constaté que sous Windows le match tournait en faveur du Nano, de peu mais suffisamment audible.
J'ai pris une licence AudioLinux et paramétré Diretta (avec les commandes partagées par Patatorz) . A la réception du lien et après téléchargement, j'ai "gravé" l'image sur une clé USB 32Go. Audiolinux démarre donc de la clé, pas de processus d'installation sur un disque dur. Ca laisse l'opportunité de se faire une machine sans aucun disque et ensuite de monter en RAM l'OS.
Au premier boot: j'ai un message m'informant de changer le choix du CPU, j'ai un AMD. C'est en Anglais, mais très simple à comprendre et à faire.
Après deux échanges rapide avec LeDom, j'arrive à faire fonctionner Diretta. Il ne s'agissait pas d'un problème hyper technique: sous Linux, Diretta a besoin de voir un DAC en USB pour monter la carte son. Sans carte son, pas de MPD et donc pas de UPNP. Mon cable USB était juste mal inséré dans le DAC. Une fois la carte son montée, on paramètre MPD: une interface web le permet de manière très "user friendly". Il faut renseigner : une carte son, un chemin de lecture (il en faut un même bidon), une taille de buffer (j'ai repris la valeur par défaut), et un pourcentage de chargement de la musique en RAM (j'ai repris la valeur par défaut, i.e 100%).
Je n'ai fait aucune optimisation, donc Audiolinux et Diretta sont en configuration par défaut.
Le Nano Player Signature est en AES et j'ai mis la gestion du volume en fixe (plus de Leedh Processing), le but étant de comparer la qualité la source et seulement celle ci. J'utilise l'alimentation stock du Nano. Au biais que les entrées SPDIF et AES de mon DAC (Musical Paradise MP2 MK3) sont bien meilleures que l'USB (pourtant optimisée à coup de d'horloge, etc..).
La gestion du volume se fera donc à partir du DAC. Je règle le volume et je n'y touche plus.
J'attrape un de mes fils et lui indique comment changer de source sur le DAC et sur l'appli MConnect (parce que très simple, peu être trop d'ailleurs). Je cache la façade du DAC, pour ne pas voir quelle source est utilisée.
3 albums sont utilisés :
mon dernier coup de coeur :
https://www.qobuz.com/fr-fr/album/le-tem...d1sspxq2ec
Un album de Melody Cardot, intéressant pour capter l'ambiance du club :
https://www.qobuz.com/fr-fr/album/live-f...0252702738
Un album intimiste mais bourré de détails fins d'ambiance:
https://www.qobuz.com/fr-fr/album/instru...pkpiqj6qtb
Pendant une bonne heure, ma progéniture opèrent les changements et note les sources... C'est long, une heure pour un ado !
Concernant, le résultat de cette petite expérience, je n'ai pas été fichu de distinguer les deux sources sur mon systèmes et sur ces albums. Que faut il en déduire ?
Le Nano Player Signature est un excellent streamer, pratiquement "Jitter free" (du moins mesuré sur I2S), bruit de phase ridicule. Mon setup Diretta s'appuie sur le Developpement Kit Lucia qui est alimenté (comme mon serveur) par une HDPlex 500W ATX (donc honorable mais pas à la pointe de ce qui se fait en terme d'alimentation). On peut donc aller plus loin, du coté Nano avec une bonne alimentation, comme du coté Diretta en traitant aussi ce point avec des éléments plus qualitatifs.
A ce stade, je suis bien em...dé !
Le Nano Player Signature excelle en lien direct avec un ampli de puissance. Toutes ses qualités s'expriment avec le lien direct au DAC et l'utilisation du Leedh Processing. Celui ci n'étant pas exempt de défauts non plus.
Je suis tout de même super surpris par la qualité et la simplicité de mise en oeuvre d'AudioLinux. Son seul défaut restant son site web, peu avenant et pouvant faire peur, alors que le travail de Piero le concepteur est remarquable. En partant d'une solution qui peut devenir un cauchemar pour un non initié à Linux, il est arrivé à en faire une solution très facile à mettre en oeuvre, y compris pour les autres solutions que Diretta. Nous devrions en parler un peu plus en DIY.