09-09-2020, 02:30 PM
(Modification du message : 09-09-2020, 02:46 PM par Musicalbox.)
Reçu ce matin la visite d’un ingé son, stupéfait de la tenue du son dans l’auditorium [et qui soit dit en passant cherchait où était le sub..... (il n’y en a pas...) ]
Le coeur de la restitution est le matériel.
Si le matériel ne lâche rien c’est la base.
Ensuite effectivement perfectionner le traitement acoustique est toujours bénéfique !!
Et non-négligeable.
Mais CQFD
- on peut avoir un résultat excellent (dans le respect de la musique) avec un matériel excellent sans perfectionner l’acoustisque,
- l’inverse, super traitement mais matériel en défaut, ce sera du défaut....
L’idéal étant les deux à la fois bien entendu (sans jeu de mot).
Le câblage fait partie du matériel.
Il n’y a absolument pas de comparaison ni de concurrence entre traitement acoustique et matériel : ce dernier apporte ce qu’il apporte, le CONTENU, le traitement le contenant.
Le contenu ne s’invente pas : le matériel le sort ou pas.
Le traitement ne peut inventer ce qui est absent à la sortie.
Il peut grandement améliorer ce qui sort, oui.
Mais pas récupérer ce que le matériel ne sort pas.
Tout commence donc par sortir le plus possible de l’enregistrement, dans un respect du son musical et la cohérence musicale, ensuite autant qu’on le peut travailler l’environnement.
Chacun fait ses choix.
Car chacun construit son résultat d’écoute comme il l’entend (avec jeu de mot).
À la fin c’est ainsi.
Lorsque j’entends un système super pourléché dans la correction active, mais où il manque des choses essentielles, ou des choses tout court dont je sais que c’est dans l’enregistrement, ou que les timbres ne sont pas respectés, je me dis que c’est dommage, et surtout je ne peux pas rester devant.
Mais c’est le choix du propriétaire que de négliger la base.
Lorsque j’entends un système où tout est là, précis et riche à la fois, et qui respecte la musique, mais où l’on entend un mode, je reste devant. Car la musique est là. Et si le défaut d’acoustique n’est pas trop violent je l’oublie.
L’idéal étant de regrouper les deux. Evidemment.
Lorsque je vois des débauches d’énergie qui se comptent en années en convolution sur un ensemble matériel qui ne peut pas restituer, je m’interroge.....
En revanche si la base est d’excellence, oui le travail en vaut la peine.
Mais si le câble USB (ou l’un de ses copains) mange la moitié des plans, a des timbres de casserole, aucun traitement acoustique ne rattrapera cette perte.
« Fifrelin », c’est le mot récurrent dans le clan de ceux qui croient au père Noël dans cette idéologie, mais c’est la réalité sur le terrain.
Rephase est un outil.
Je rends l’antenne.
Le coeur de la restitution est le matériel.
Si le matériel ne lâche rien c’est la base.
Ensuite effectivement perfectionner le traitement acoustique est toujours bénéfique !!
Et non-négligeable.
Mais CQFD
- on peut avoir un résultat excellent (dans le respect de la musique) avec un matériel excellent sans perfectionner l’acoustisque,
- l’inverse, super traitement mais matériel en défaut, ce sera du défaut....
L’idéal étant les deux à la fois bien entendu (sans jeu de mot).
Le câblage fait partie du matériel.
Il n’y a absolument pas de comparaison ni de concurrence entre traitement acoustique et matériel : ce dernier apporte ce qu’il apporte, le CONTENU, le traitement le contenant.
Le contenu ne s’invente pas : le matériel le sort ou pas.
Le traitement ne peut inventer ce qui est absent à la sortie.
Il peut grandement améliorer ce qui sort, oui.
Mais pas récupérer ce que le matériel ne sort pas.
Tout commence donc par sortir le plus possible de l’enregistrement, dans un respect du son musical et la cohérence musicale, ensuite autant qu’on le peut travailler l’environnement.
Chacun fait ses choix.
Car chacun construit son résultat d’écoute comme il l’entend (avec jeu de mot).
À la fin c’est ainsi.
Lorsque j’entends un système super pourléché dans la correction active, mais où il manque des choses essentielles, ou des choses tout court dont je sais que c’est dans l’enregistrement, ou que les timbres ne sont pas respectés, je me dis que c’est dommage, et surtout je ne peux pas rester devant.
Mais c’est le choix du propriétaire que de négliger la base.
Lorsque j’entends un système où tout est là, précis et riche à la fois, et qui respecte la musique, mais où l’on entend un mode, je reste devant. Car la musique est là. Et si le défaut d’acoustique n’est pas trop violent je l’oublie.
L’idéal étant de regrouper les deux. Evidemment.
Lorsque je vois des débauches d’énergie qui se comptent en années en convolution sur un ensemble matériel qui ne peut pas restituer, je m’interroge.....
En revanche si la base est d’excellence, oui le travail en vaut la peine.
Mais si le câble USB (ou l’un de ses copains) mange la moitié des plans, a des timbres de casserole, aucun traitement acoustique ne rattrapera cette perte.
« Fifrelin », c’est le mot récurrent dans le clan de ceux qui croient au père Noël dans cette idéologie, mais c’est la réalité sur le terrain.
Rephase est un outil.
Je rends l’antenne.