Certes,
il n'en demeure pas moins que les points de fonctionnement et la dissipation de la paire sont différents. L'excellent couplage thermique va faire évoluer chaque cellule autour de son point de repos de manière différente.
Le couplage thermique n'a de sens que pour synchroniser au mieux les caractéristiques d'une paire qui, on le sait, sont très dépendantes de la température. Encore faut-il que le montage le permette en faisant fonctionner chaque cellule dans les mêmes conditions électriques. La symétrie apparente du schéma ne doit pas nous tromper sur l'absence de symétrie du fonctionnement de la paire de transistors.
C'est d'ailleurs plutôt la manière dont le gain varie en fonction de Vce qui importe ici.
Pour terminer, il y a plus de choix optimaux en termes de linéarité parmi les transistors simples que parmi les doubles, d'où ma préconisation.
PS : une linéarité "exemplaire", connais pas.
Cordialement,
M.
il n'en demeure pas moins que les points de fonctionnement et la dissipation de la paire sont différents. L'excellent couplage thermique va faire évoluer chaque cellule autour de son point de repos de manière différente.
Le couplage thermique n'a de sens que pour synchroniser au mieux les caractéristiques d'une paire qui, on le sait, sont très dépendantes de la température. Encore faut-il que le montage le permette en faisant fonctionner chaque cellule dans les mêmes conditions électriques. La symétrie apparente du schéma ne doit pas nous tromper sur l'absence de symétrie du fonctionnement de la paire de transistors.
C'est d'ailleurs plutôt la manière dont le gain varie en fonction de Vce qui importe ici.
Pour terminer, il y a plus de choix optimaux en termes de linéarité parmi les transistors simples que parmi les doubles, d'où ma préconisation.
PS : une linéarité "exemplaire", connais pas.
Cordialement,
M.