Ce fil avait déjà commencé à servir d’historique de mes bricolages acoustiques aux principes autant passéistes que fantaisistes, pour les mauvaises langues. La mini-colonne J17 avait déjà fait l’objet d’un post. Il ne reste qu’une petite partie de la série qui sont encore accessibles et écoutables. Les J23 sont chez mon fils. Les 21, 22 et 27 font parties de mon H.C..La compacte J19 est mon petit bijou que je garde au chaud. J’avais laissé les Jalucine 20 à ma fille et mon gendre qui venait de recevoir un ampli série « spéciale » Marantz en remplacement de son NAD 3020 ! On n’est pas toujours pas à la dernière mode ! À la rigueur le DAC Cambridge, et encore.
Ces enceintes étaient celles qui ont précédé les J24 dans mon salon. Caisse en multiplis de hêtre hyper rigide, filtre basse résistance à 6 db/octave, tubes béton-sable derrière chaque haut parleur, bass-reflex avec exploitation du room gain dans le grave. Le médium est le PR17HR37TSM Audax bien connu, membrane traitée epoxy, qui chute naturellement sans irrégularité vers 9000 hz, du fait de sa suspension périphérique plane. Il n’est donc pas coupé en haut et fonctionne presque comme un large bande de 200 à 9000 hz. Les autres HPs venant simplement le compléter. Le tweeter est le Audax PR120 à compression et pavillon, membrane titane. Je l’avais comparé à l’époque (1990) à ses concurrents de technologie et prix à peu près comparables, tels les Fostex et Technics, et il prenait clairement l’avantage. Le grave est pris en charge par deux MHD17P37TSM Audax, traités également epoxy.
Avant les J24, donc vers 2010, les J20 étaient utilisées dans mon salon avec un DAC Weiss et la section ampli d’un DENON 1500. Les nouvelles conditions d’exploitation ne sont pas trop différentes. Il est intéressant de faire de temps en temps des retours en arrière pour évaluer le nombre de cycle de progression-régression que l’on peut faire par la masse des améliorations successives. Cela ressemble assez souvent à un escalier de Penrose que voici :
Bien sûr, il ne faut pas généraliser. Et puis le plaisir de faire progresser son système est tout-à-fait honorable. Mais lorsque l’on a l’occasion d’un retour en arrière avec un risque relativement limité de variables environnementales, c’est instructif, pour se remettre en question, pour évaluer s’il y a des évolutions sensibles dans un sens ou un autre, si les «nouvelles » technologies apportent quelque chose de significatif. La salle actuelle fait 48 m2, à peu près la même surface qu'avant déménagement.
Ces enceintes avaient laissé de bons souvenirs. Par exemple pour citer quelqu’un d’averti, Alain Carvo de Staccato, auditorium à Nantes, venu pour me faire essayer les ampli KR audio que l’on avait testé sur ces J20, avait eu l’honnêteté et la franchise de dire qu’il ne connaissait pas d’équivalent sur le marché. Récemment, des amis musiciens et techniciens du son étaient passés et avaient été marqués par leur restitution.
Que peut-on maintenant en penser ? Le médium-aigu est vraiment très bon, alliant dynamique, précision, homogénéité, absence de distorsion, fluidité, élégance des timbres. Il est supérieur aux J25 et J26, comparable aux J24, et malgré une électronique hors mode, et sans vouloir se frotter aux grands systèmes à pavillons, je n’ai pas souvenir d’une telle musicalité globale dans toutes les écoutes que j’ai pu faire ces dernières années.
Le grave n’est pas au niveau des J24, mais à celui des J26 et 25. Je pense qu’une meilleure amplification et une meilleure mise en oeuvre en positionnement et cônes de liaison au sol pourraient le pousser beaucoup plus loin. On peut conclure que la bonne gestion des vibrations parasites par leur amortissement à leurs sources, les gros moteurs, les membranes papier traité epoxy, la rigidité des coffrets, les filtres à composants sans compromis et des couches de feutre en amortissement interne au coffret, tous éléments pas faciles à proposer en commercialisation, sont des critères très importants pour la qualité musicale, même trente ans après.
Ces enceintes étaient celles qui ont précédé les J24 dans mon salon. Caisse en multiplis de hêtre hyper rigide, filtre basse résistance à 6 db/octave, tubes béton-sable derrière chaque haut parleur, bass-reflex avec exploitation du room gain dans le grave. Le médium est le PR17HR37TSM Audax bien connu, membrane traitée epoxy, qui chute naturellement sans irrégularité vers 9000 hz, du fait de sa suspension périphérique plane. Il n’est donc pas coupé en haut et fonctionne presque comme un large bande de 200 à 9000 hz. Les autres HPs venant simplement le compléter. Le tweeter est le Audax PR120 à compression et pavillon, membrane titane. Je l’avais comparé à l’époque (1990) à ses concurrents de technologie et prix à peu près comparables, tels les Fostex et Technics, et il prenait clairement l’avantage. Le grave est pris en charge par deux MHD17P37TSM Audax, traités également epoxy.
Avant les J24, donc vers 2010, les J20 étaient utilisées dans mon salon avec un DAC Weiss et la section ampli d’un DENON 1500. Les nouvelles conditions d’exploitation ne sont pas trop différentes. Il est intéressant de faire de temps en temps des retours en arrière pour évaluer le nombre de cycle de progression-régression que l’on peut faire par la masse des améliorations successives. Cela ressemble assez souvent à un escalier de Penrose que voici :
Bien sûr, il ne faut pas généraliser. Et puis le plaisir de faire progresser son système est tout-à-fait honorable. Mais lorsque l’on a l’occasion d’un retour en arrière avec un risque relativement limité de variables environnementales, c’est instructif, pour se remettre en question, pour évaluer s’il y a des évolutions sensibles dans un sens ou un autre, si les «nouvelles » technologies apportent quelque chose de significatif. La salle actuelle fait 48 m2, à peu près la même surface qu'avant déménagement.
Ces enceintes avaient laissé de bons souvenirs. Par exemple pour citer quelqu’un d’averti, Alain Carvo de Staccato, auditorium à Nantes, venu pour me faire essayer les ampli KR audio que l’on avait testé sur ces J20, avait eu l’honnêteté et la franchise de dire qu’il ne connaissait pas d’équivalent sur le marché. Récemment, des amis musiciens et techniciens du son étaient passés et avaient été marqués par leur restitution.
Que peut-on maintenant en penser ? Le médium-aigu est vraiment très bon, alliant dynamique, précision, homogénéité, absence de distorsion, fluidité, élégance des timbres. Il est supérieur aux J25 et J26, comparable aux J24, et malgré une électronique hors mode, et sans vouloir se frotter aux grands systèmes à pavillons, je n’ai pas souvenir d’une telle musicalité globale dans toutes les écoutes que j’ai pu faire ces dernières années.
Le grave n’est pas au niveau des J24, mais à celui des J26 et 25. Je pense qu’une meilleure amplification et une meilleure mise en oeuvre en positionnement et cônes de liaison au sol pourraient le pousser beaucoup plus loin. On peut conclure que la bonne gestion des vibrations parasites par leur amortissement à leurs sources, les gros moteurs, les membranes papier traité epoxy, la rigidité des coffrets, les filtres à composants sans compromis et des couches de feutre en amortissement interne au coffret, tous éléments pas faciles à proposer en commercialisation, sont des critères très importants pour la qualité musicale, même trente ans après.
1max : http://forum-hifi.fr/thread-1383.html
J24 : http://forum-hifi.fr/thread-182.html
H.C. : http://forum-hifi.fr/thread-12124-post-2...#pid246840
J25 : http://forum-hifi.fr/thread-183.html
J26 : http://forum-hifi.fr/thread-1131-post-19...#pid193456
La rencontre : http://forum-hifi.fr/thread-12918.html
J24 : http://forum-hifi.fr/thread-182.html
H.C. : http://forum-hifi.fr/thread-12124-post-2...#pid246840
J25 : http://forum-hifi.fr/thread-183.html
J26 : http://forum-hifi.fr/thread-1131-post-19...#pid193456
La rencontre : http://forum-hifi.fr/thread-12918.html