Comme indiqué dans un autre fil, je viens d'écouter la 8eme de Shostakovich, dans la version (1983) que je possède et qui est somptueuse tant sur le plan de la dramaturgie que sur le plan technique (jaquette photo de la réédition 2014)
J'étais allé l'écouter, exécutée par l'ONCT à la Halle aux Grains l'an dernier, et ma compagne et moi en étions ressortis un peu "secouées".
Je retrouve cette secousse dans cette version: une intensité dramatique phénoménale mais aussi un fabuleux abord technique.
Le spectre de l'orchestre est complet, exploré de très bas jusqu'à très haut. La dynamique est impressionnante et les impacts des percussions prennent aux tripes, associés aux grondements des contrebasses. Les cuivres craquent et rutilent ....
L'image est cinémascope et se déploie très largement entre les murs.
Bref, une réussite qui replonge dans la salle de concert pour peu que l'on écoute à un niveau "réaliste" avec les gamelles ad'hoc pour le bas du spectre. Attendez que vos voisins soient partis ... et frissons assurés
J'étais allé l'écouter, exécutée par l'ONCT à la Halle aux Grains l'an dernier, et ma compagne et moi en étions ressortis un peu "secouées".
Je retrouve cette secousse dans cette version: une intensité dramatique phénoménale mais aussi un fabuleux abord technique.
Le spectre de l'orchestre est complet, exploré de très bas jusqu'à très haut. La dynamique est impressionnante et les impacts des percussions prennent aux tripes, associés aux grondements des contrebasses. Les cuivres craquent et rutilent ....
L'image est cinémascope et se déploie très largement entre les murs.
Bref, une réussite qui replonge dans la salle de concert pour peu que l'on écoute à un niveau "réaliste" avec les gamelles ad'hoc pour le bas du spectre. Attendez que vos voisins soient partis ... et frissons assurés