S’il y a des différences, c’est qu’il manque d’isolation entre la décompression (et une fluctuation de courant ou autre), et le DAC qui bien qu’il reçoit le même train de bit (c’est la définition de lossless) ne le reçoit pas exactement de la même manière. C’est l’objectif même du protocole Diretta : on fait tourner la décompression sur un Host, qui génèrera du bruit de différentes façon (sans altérer le train de bits)… et le protocole Diretta filtre ce bruit afin que le Target ait un flux qui ressemble à s’y méprendre à un flux d’origine WAV.
C’est une manière de découpler. L’approche de Daphile proposé par Paz qui peut décomprimer d’abord en RAM puis ensuite envoyer au DAC le fichier WAV reconstitué en est une autre plus simple.
Après, je veux bien croire que sans ce type de précaution, des lecteurs jouent différemment FLAC et WAV.
(Je n’ose imaginer un bug dans le lecteur qui jouerait le fichier FLAC de façon approximative en terme de flux binaires).
C’est une manière de découpler. L’approche de Daphile proposé par Paz qui peut décomprimer d’abord en RAM puis ensuite envoyer au DAC le fichier WAV reconstitué en est une autre plus simple.
Après, je veux bien croire que sans ce type de précaution, des lecteurs jouent différemment FLAC et WAV.
(Je n’ose imaginer un bug dans le lecteur qui jouerait le fichier FLAC de façon approximative en terme de flux binaires).
Salon : paire de Devialet II 98dB
Bureau : piano numérique Yamaha N1X (6x30W), DAC/ADC Steinberg UR22, casque AKG702
Bureau : piano numérique Yamaha N1X (6x30W), DAC/ADC Steinberg UR22, casque AKG702