06-12-2019, 08:08 PM
(Modification du message : 06-12-2019, 08:27 PM par Musicalbox.)
Thierry il y a un décalage dans nos expériences.
De mémoire le moins fort c’est la harpe qui est déjà vers 75dB.
Un violon c’est 85dB.
À volume normal, pas fort, le seul phrasé fait monter.
C’est très intense le son d’un instrument.
Un orchestre c’est 120dB.
D’ailleurs la moindre variation de nuance expressive fait des pics comme peu de systèmes savent reproduire.
Ce que tu nous décris c’est le dernier rang d’une salle étouffée.
J’avais un tableau des niveaux sonores des instruments , pas retrouvé.
Rien que les écarts dynamiques .....
Pour plafonner à 60dB il ne faut écouter que des musiques sans écarts dynamiques, ou des enregistrements compressés.
Un coup de causse inattendu ça fait sursauter sur un système qui restitue les écarts dynamiques.
A 5 mètres de l’instrument on perd une dizaine de dB. Toujours de mémoire ça remonte à 30 ans excusez-moi.
Donc ensuite c’est chacun selon ses goûts, préférer écouter la musique du fond de la salle où devant les instruments.
On a chacun nos habitudes.
Pour ma part ayant baigné dans le live j’ai besoin du son de l’instrument au premier rang.
Je ne critique pas le fait d’écouter en sourdine, mais je crois qu’on n’a as tous la même approche :
intellectuelle ou viscérale.
Viscérale pour moi, j’ai besoin que cela me traverse.
Un concert classique je m’ennuie à mourir si je suis loin.
Un système de qualité se reconnaît à la possibilité de passer des heures d’écoute à volume « viscéral » sans aucune fatigue, en total confort et totale immersion.
Bien sûr cela dépend aussi de l’acoustique.
Si l’un ou l’autre ou les deux sont mauvais on éprouve le besoin de baisser le volume. .
Cela dépend aussi de ce qu’on écoute, les instruments amplifiés ne sont pas des flûtes ou des clavecins.
Une formation jazz on est très très loin des 60dB de conversation calme .
Le son éclate en permanence, il y a la percussion.
Perdre ça en écoute domestique c’est dépérir.
C’est l’essence de la musique qui s’éteint. C’est fait pour être écouté comme si on était devant. Pas dans la pièce d’à côté.
Quand tu écoutes Jeff Buckley sur Halleluya tu veux être devant la scène, vivre sa voix, être dans chaque nuance profonde de sa guitare. Parce que c’est là qu’est l’emotion sur scène.
Tu as déjà passé un peu de temps avec une guitare électrique ? En live.
Quelle délectation de rentrer dans le son ! Tu ne sais pas dire si tu rentres dans la sonorité ou si c’est elle qui t’envahit.
De mémoire le moins fort c’est la harpe qui est déjà vers 75dB.
Un violon c’est 85dB.
À volume normal, pas fort, le seul phrasé fait monter.
C’est très intense le son d’un instrument.
Un orchestre c’est 120dB.
D’ailleurs la moindre variation de nuance expressive fait des pics comme peu de systèmes savent reproduire.
Ce que tu nous décris c’est le dernier rang d’une salle étouffée.
J’avais un tableau des niveaux sonores des instruments , pas retrouvé.
Rien que les écarts dynamiques .....
Pour plafonner à 60dB il ne faut écouter que des musiques sans écarts dynamiques, ou des enregistrements compressés.
Un coup de causse inattendu ça fait sursauter sur un système qui restitue les écarts dynamiques.
A 5 mètres de l’instrument on perd une dizaine de dB. Toujours de mémoire ça remonte à 30 ans excusez-moi.
Donc ensuite c’est chacun selon ses goûts, préférer écouter la musique du fond de la salle où devant les instruments.
On a chacun nos habitudes.
Pour ma part ayant baigné dans le live j’ai besoin du son de l’instrument au premier rang.
Je ne critique pas le fait d’écouter en sourdine, mais je crois qu’on n’a as tous la même approche :
intellectuelle ou viscérale.
Viscérale pour moi, j’ai besoin que cela me traverse.
Un concert classique je m’ennuie à mourir si je suis loin.
Un système de qualité se reconnaît à la possibilité de passer des heures d’écoute à volume « viscéral » sans aucune fatigue, en total confort et totale immersion.
Bien sûr cela dépend aussi de l’acoustique.
Si l’un ou l’autre ou les deux sont mauvais on éprouve le besoin de baisser le volume. .
Cela dépend aussi de ce qu’on écoute, les instruments amplifiés ne sont pas des flûtes ou des clavecins.
Une formation jazz on est très très loin des 60dB de conversation calme .
Le son éclate en permanence, il y a la percussion.
Perdre ça en écoute domestique c’est dépérir.
C’est l’essence de la musique qui s’éteint. C’est fait pour être écouté comme si on était devant. Pas dans la pièce d’à côté.
Quand tu écoutes Jeff Buckley sur Halleluya tu veux être devant la scène, vivre sa voix, être dans chaque nuance profonde de sa guitare. Parce que c’est là qu’est l’emotion sur scène.
Tu as déjà passé un peu de temps avec une guitare électrique ? En live.
Quelle délectation de rentrer dans le son ! Tu ne sais pas dire si tu rentres dans la sonorité ou si c’est elle qui t’envahit.