@Okanochiwa
Il faut re-contextualisé, ce qu'on appelle musique classique maintenant était la musique actuelle de l'époque. <-- Bonjour ici Captain Obvious !
Mais oui, on mangeait, on parlait, on s'exprimait à l'opéra.
Quand on n'était pas content on jetait réellement des tomates. Maintenant en France c'est rare qu'on siffle, en Allemagne ça arrive encore
Dans les symphonies, on applaudissait entre les mouvements. Chose qui ne se fait quasiment plus maintenant sinon un snobinard émet un rictus nerveux en pouffant "Diantre celui ci ne connait pas les codes".
Il écrivait pour manger d'abord
et pour le peuple.
Par contre quand on veut aller plus loin, c'est complexe, brillant. Si on creuse un peu, quand on veut approcher le style mozartien, là oui, ça ne s'improvise pas et beaucoup s'y cassent les dents.
Concernant beethoven, ces concertos par exemple sont souvent le pied ultime pour un musicien. Tu ne peux pas jouer le concerto pour violon de beethoven sans avoir un minimum de bouteille musicale. C'est le graal, le concerto de la maturité. Ca n'apparait que rarement aux concours internationaux ou peu ne s'y risquent. Ca réclame une lecture aboutie plus que d'autres concertos qui peuvent se jouer avec une lecture minimaliste en jouant sur la fougue de la jeunesse, la rage (tchaiko, chosta, etc).
Si c'est l'atonalité qui fait entrer dans le langage courant le terme "musique contemporaine" ce n'est pas une généralité. Comme j'ai posté un peu avant, le monsieur qui joue de l'oud est bien vivant et compose de la musique moderne mais tonale. Messiaen qui a eu pour élève Boulez, stockhausen , etc, par exemple ne faisait pas que du sériel.
Citation :Je suis surpris d'apprendre qu'au 18ème siècle l'opéra populaire était notre équivalent du Zenith. Tu parles de l'Autriche ou l'Europe en général ?
Si tel est le cas, le niveau de la musique populaire a dramatiquement dégringolé.
Il faut re-contextualisé, ce qu'on appelle musique classique maintenant était la musique actuelle de l'époque. <-- Bonjour ici Captain Obvious !
Mais oui, on mangeait, on parlait, on s'exprimait à l'opéra.
Quand on n'était pas content on jetait réellement des tomates. Maintenant en France c'est rare qu'on siffle, en Allemagne ça arrive encore
![Big Grin Big Grin](http://forum-hifi.fr/images/smilies/biggrin.png)
Dans les symphonies, on applaudissait entre les mouvements. Chose qui ne se fait quasiment plus maintenant sinon un snobinard émet un rictus nerveux en pouffant "Diantre celui ci ne connait pas les codes".
Citation :apparemment toute personne ayant un minimum d'initiation aime MozartJe ne dirais pas ça forcément comme ça car Mozart était un mélodiste génial dont on peut retenir les musiques à la première écoute. Donc sans initiation.
Il écrivait pour manger d'abord
![Big Grin Big Grin](http://forum-hifi.fr/images/smilies/biggrin.png)
Par contre quand on veut aller plus loin, c'est complexe, brillant. Si on creuse un peu, quand on veut approcher le style mozartien, là oui, ça ne s'improvise pas et beaucoup s'y cassent les dents.
Concernant beethoven, ces concertos par exemple sont souvent le pied ultime pour un musicien. Tu ne peux pas jouer le concerto pour violon de beethoven sans avoir un minimum de bouteille musicale. C'est le graal, le concerto de la maturité. Ca n'apparait que rarement aux concours internationaux ou peu ne s'y risquent. Ca réclame une lecture aboutie plus que d'autres concertos qui peuvent se jouer avec une lecture minimaliste en jouant sur la fougue de la jeunesse, la rage (tchaiko, chosta, etc).
Citation :Le classique moderne est nécessairement atonale ?
Si c'est l'atonalité qui fait entrer dans le langage courant le terme "musique contemporaine" ce n'est pas une généralité. Comme j'ai posté un peu avant, le monsieur qui joue de l'oud est bien vivant et compose de la musique moderne mais tonale. Messiaen qui a eu pour élève Boulez, stockhausen , etc, par exemple ne faisait pas que du sériel.